30 janvier 2011

nos dimanches salésiens : " Viva Don Bosco ! "


Padre, di molte genti padre,
il nostro grido ascolta:
è il canto della vita.
Quella perenne giovinezza
che tu portavi in cuore
perché non doni a noi?


Padre, maestro e amico
noi giovani del mondo
guardiamo ancora a te.
Apri il nostro cuore a Cristo
sostieni il nostro impegno
in questa società.


Père , de nombreux jeunes, Père
Écoute avec tendresse
Le cri de notre vie.
Ton coeur débordant de jeunesse
disait la joie de vivre
et vibre encore pour nous.

Pour nous, tu es un Père un ami
Et de partout sur la terre
Nous regardons vers toi.
Guide nos pas sur ceux de Jésus,
Pour que grandisse l’amour
Dans le monde d’aujourd’hui.

 

 

Voir la vidéo du jour

29 janvier 2011

La Famille salésienne de Don Bosco.

Sans titre 3.jpg

Rendons grâce à Dieu qui opère des merveilles en ses saints.

Penser aujourd’hui à la Famille salésienne, c’est reconnaître Don Bosco fondateur. C’est pourquoi nous parlons de la Famille salésienne de Don Bosco.

La relation qu’il établit avec certaines personnes et certains groupes fut particulière et privilégiée.

Avec Pie IX, il partagea les fatigues et les espoirs de la nouvelle institution, la Pieuse Société de Saint François de Sales, voulue elle aussi à l’image et à la ressemblance de la famille humaine qui a Dieu pour Père et de la famille ecclésiale qui a le Pape comme père commun.

Avec Mère Mazzarello, il vécut une expérience spirituelle et religieuse qui surprend à cause des médiations que le Seigneur avait préparées ; à cause des rencontres providentielles et de la lumière d’une institution réciproque qui devançait les contextes apostoliques de l’époque ; à cause de la collaboration authentique et féconde qui permit la fondation de L’ Institut des Filles de Marie Auxiliatrice.

Avec beaucoup de croyants, engagés pour le bien des jeunes et le renforcement de la foi des gens simples, il a fait l’expérience de la force et de l’efficacité du travail réalisé dans l’union, selon l’esprit de l’Evangile et la méthode du Bon Pasteur. C’est ainsi qu’apparurent les Salésiens Coopérateurs et dans cette grande mouvance d’union de toutes les forces vives en vue du bien des jeunes, le vaste mouvement des Anciens.

Plus tard, sous l’impulsion de Don Rinaldi, troisième successeur de Don Bosco, apparurent d’autres formes de vie consacrée, voulant ainsi donner la joie de répondre aux appels du Seigneur à travailler à sa vigne sous toutes ses formes et de toutes les manières les plus prophétiques qui soient. C’est ainsi que furent créées entre autres les Volontaires de Don Bosco.

A plus de cent ans de sa mort, le phénomène salésien ne cesse d’étonner par son extension géographique et l’accroissement du nombre de ses groupes qui, avec leur originalité spécifique, regardent Don Bosco comme le père d’une grande famille spirituelle.

L’unité harmonieuse du charisme de fondation, la charité pastorale et la force du don fait à Don Bosco par l’Esprit, assurent le climat, le milieu de croissance et l’essentiel d’une Famille salésienne


Père Egidio VIGANO. Recteur Majeur
31 janvier 1995.

 

Poursuivre la découverte de la Famille Salésienne

Ce sera la fête à Liège.... le 8 octobre 2011 : visitez le site du 120ème !

 

Voir la vidéo du jour

 

28 janvier 2011

Vous êtes une seule ruche.

 

Sans titre 1.jpg

 

Dès les origines de notre famille du Valdocco, une tradition a vu le jour : le mot du soir. Un entretien simple et cordial où le père s’adresse à ses fils pour les instruire, les édifier et aussi les divertir.

L’un des mots du soir de février 1864, que retranscrivit l’un de mes auditeurs, pourrait être intitulé : la parabole de la ruche.

« Mes amis, transportons-nous dans l’un ou l’autre de nos villages au printemps. Nous découvrons une prairie couverte de fleurs, lumineuse sous les rayons du soleil. Voici une ruche bourdonnante de vie. Chaque abeille joue son rôle. La reine rassemble. La reine assure l’unité et la fécondité. Les ouvrières volent et butinent de fleur en fleur le suc précieux ; d’autres abeilles montent la garde, construisent les alvéoles, nourrissent les larves. Chacune travaille pour le bien de toutes Chacune produit le miel, pain quotidien de cette grande famille. Chacune obéit. Imitez les abeilles dans leur obéissance à la reine, c’est-à-dire au règlement proposé par vos maîtres. Sans obéissance, pas d’unité possible ; le désordre s’installe et la critique divise. Le miel nourrit. Imitez les abeilles qui produisent le miel. Le miel qui nous régale et, parfois nous guérit. Le miel, résultat d’un travail assidu. C’est votre travail en classe, à l’atelier. Le miel, c’est la joie que vous semez en récréation, au théâtre et dans nos fêtes ; c’est la ferveur de votre prière ; c’est la douceur et la paix qui dessinent, sur notre famille rassemblée, un arc-en-ciel, de lumière»

Don Bosco

 

Voir la video du jour

27 janvier 2011

LE FOU ET LES SAINTS

 

Sans titre 4.jpg

 

Au départ le fou et le saint se ressemblent comme deux frères jumeaux.
Au départ ils disent tous deux la vérité.
Au départ le fou et le saint ont cette même insensée prétention de dire la vérité.

C’est après que cela se gâte.

Le fou est celui qui, énonçant la vérité, la renvoie aussitôt à son vrai destinataire, comme on rajoute sur une enveloppe l’adresse qui manquait.

Je dis le vrai donc je ne suis pas fou, dit le fou.
Je dis le vrai mais je ne suis pas vrai, dit le saint.
Je ne suis pas saint dit le saint, seul Dieu l’est, à qui je vous renvoie.

Les fous et les saints se côtoient dans l’Histoire.

Ils se frôlent, ils se cherchent et parfois se rencontrent pour le plus grand malheur du fou, pour son plus beau désastre.

Trois des quatre évangélistes décrivent la guérison par le Christ d’un possédé qui « avait sa demeure dans les tombes et que personne ne pouvait lier, même avec une chaîne ».

Le fou est dans la compagnie des morts. Il a son visage tourné vers l’ombre. Plus rien ne lui arrive que du passé. Il ne peut se lier à rien ni personne, il ne peut nouer aucune histoire vivante avec les vivants.

Le saint a son visage tourné comme une proue vers ce qui vient de l’avenir pour féconder le présent,  pollen de Dieu transporté par toutes sortes d’anges.

Le saint n’en finit pas de relier le proche au lointain, l’humain au divin, le vivant au vivant.


Christian BOBIN « le très-bas »

 

Voir la video du jour

26 janvier 2011

Intentions de prières

 

Sans titre 1.jpg

 

Tout homme est un frère, tout homme est né de Dieu
Enfants d’un même Père qui nous aime dans les cieux.


Seigneur,
Ouvre nos oreilles afin que ta Parole chemine jusqu’au plus profond de notre être, qu’elle nous touche au cœur et élargisse notre regard. Qu’ainsi nos vies, nos actes et nos paroles soient vraiment signes de ton amour infini.


Seigneur,
Donne-nous la force intérieure pour devenir des instruments de joie et d’espérance dans le monde.
Donne-nous le courage de nos convictions afin que ta Parole soit agissante dans nos vies.
Donne-nous d’accueillir tout être humain comme un frère, même celui qui est mal-aimé, rejeté, incompris.


Seigneur,
Rends-nous particulièrement attentifs, proches et solidaires de ceux qui sont petits, qui souffrent et se sentent abandonnés.
Donne-nous le courage de répercuter leurs cris auprès de nos responsables religieux, sociaux et politiques.

 

Publié dans Prière | Commentaires (4) |  Facebook | |  Imprimer | |