09 avril 2014

MES VIEUX HABITS

5.jpg

J’ai laissé mes vieux habits,
Mes habits de péché,
Mes habits du passé,
Et j’ai revêtu des vêtements nouveaux…
Pour Toi, je m’habille de fête !
 
Maintenant, mon cœur peut changer.
Comme si je devenais un enfant nouveau.
Tel un vêtement usé,
Le passé est quitté.
Pour Toi, Seigneur, je m’habille de fête.
 
Je t’aime, Seigneur Jésus.
Et le plus bel habit sur moi,
C’est ton amour.
 
Charles Singer   
 
 
 
 

Publié dans Carême | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer | |

08 avril 2014

Quand le printemps émerveille ton âme d'enfant

 

9.jpg

Dans le parfum du printemps naissant,
J'ai pris ta main d'enfant-adolescent,
Je t'ai fait découvrir les couleurs des feuilles,
La lenteur du temps que l'on cueille,
Je t'ai fait renaître à la vie,
En cette période de silence intense,
J'ai ressuscité toutes tes envies.
 
Ton regard émerveillé sur les beautés,
Les teintes qui s'allument tel un soleil d'été,
L'instant qui consume tes rêves secrets,
Embrase tes yeux d'un enthousiasme heureux.
Merveilleux est le moment de tes admirations,
Il redonne à la brise des chants d'inspirations.
 
Oui, les oiseaux chantent au plus haut,
Pour toi ce sont les chants les plus beaux,
Mélodies sacrées venues d'un ailleurs,
Dont tu ne sais le nom mais tu entends le cœur,
Battre en toutes saisons même celles dites mauvaises.
 
Souviens-toi autrefois tu étais un hiver froid,
Ta lumière brillait comme une lame de couteau,
Celui que tu utilisais pour voler tous ces salauds,
Les personnes étaient des pions dans tes chaos,
Maintenant tu vois le Monde sous un aspect nouveau.
L'existence il faut la respecter car elle nous est donnée,
Par un Absolu dont nous ne cesserons jamais,
De chercher les traces pour toujours avancer.
 
Vers la joie, l'allégresse, le bonheur d'être sur terre,
A contempler les souffles éternels qui nous font respirer,
Sur cette planète si belle et qui parfois pleure,
De ne pas être aimée comme toi autrefois,
Quand l'existence semblait te glisser entre les doigts.
Tu as trouvé de bonnes raisons de vivre,
De ton passé il faut que tu te délivres,
Pour être enfin un homme debout et libre.
Je t'accompagnerai vers ce destin
Chaque matin que Dieu fait.
 
Bruno LEROY.
 
 

07 avril 2014

Prisonnier

9.jpg

Un homme prisonnier est un homme en guerre. Il n’y aura donc jamais de paix possible sans la liberté. Se borner à demander la paix, c’est essayer de guérir le symptôme sans soigner la maladie. Ceux qui ne connaissent pas la liberté ne peuvent connaître la paix.

Seigneur, délie les chaînes qui retiennent prisonniers tant de peuples au monde.

Incite les hommes libres et ceux qui les gouvernent à agir concrètement en faisant pression pour peser sur les choix des tyrans au pouvoir. Même si ces pressions ne leur apportent aucun bénéfice.

Fais que les peuples qui aiment la liberté se battent sous une seule bannière, afin d’étendre à toute la planète le droit à la liberté.

C’est ainsi, seulement ainsi, que les motifs de guerre les plus sordides disparaîtront et que le merveilleux rêve de la paix pourra concrètement se transformer en réalité. 
 
Lore Dardanello Tosi.
 
 

Publié dans Carême | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer | |

06 avril 2014

Tu seras toujours mon meilleur

5.jpg

 
Seigneur,
Je ne te le dis pas assez souvent, mais je t’aime.
 
Je t’aime parce que je sais que tu m’aimes,
et cela me comble de joie.
 
Je t’aime aussi parce que tu ne me laisses jamais tomber,
même quand moi, je te laisse tomber.
 
Tu es un ami fidèle qui ferme les yeux sur mes bêtises
mais jamais sur mon cœur.
 
Je t’aime encore parce que tu m’as choisi,
avec mes qualités et mes limites,
pour travailler à ton projet d’amour.
 
Tu m’as fait confiance
jusqu’à vouloir avoir besoin de moi.
 
Je t’aime enfin
parce que tu veux bien que je vive avec toi pour toujours.
 
Oui, vraiment, ton amour va bien plus loin
que tout ce que j’aurais pu imaginer ou désirer.
 
Tu seras toujours mon meilleur.
 
Jules Beaulac – Ed Paulines 1984
 
 

Publié dans Carême | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer | |

05 avril 2014

« Qui s’abaissera sera élevé »

10.jpg

      Je ne crois pas qu’il existe quelqu’un qui ait besoin du secours et de la grâce de Dieu autant que moi. Parfois je me sens si désarmée, si faible. C’est pour cela, je crois, que Dieu se sert de moi. Puisque je ne peux pas compter sur mes propres forces, je me tourne vers lui vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Et si la journée comptait encore plus d’heures, j’aurais besoin de son aide et de sa grâce toutes ces heures durant. Tous nous devons nous accrocher à Dieu par la prière. Mon secret est très simple : je prie. Par la prière, je deviens une dans l’amour avec le Christ. J’ai compris que le prier, c’est l’aimer… 

      Les gens ont faim de la Parole de Dieu qui apportera la paix, qui apportera l’unité, qui apportera la joie. Mais on ne peut pas donner ce qu’on n’a pas. C’est pour cela qu’il faut approfondir notre vie de prière. Sois sincère dans tes prières. La sincérité, c’est l’humilité, et on n’acquiert l’humilité qu’en acceptant les humiliations. Tout ce qui a été dit sur l’humilité ne suffira pas à te l’enseigner. Tout ce que tu as lu sur l’humilité ne suffira pas à te l’enseigner. On n’apprend l’humilité qu’en acceptant les humiliations, et tu rencontreras l’humiliation tout au long de ta vie. La plus grande des humiliations est de savoir qu’on n’est rien ; voilà ce qu’on apprend lorsqu’on se retrouve face à Dieu dans la prière. 

      Souvent un regard profond et fervent sur le Christ constitue la meilleure des prières : je le regarde et il me regarde. Dans le face-à-face avec Dieu, on ne peut que savoir qu’on n’est rien et qu’on n’a rien. 
 
Mère Teresa
 
 

Publié dans Carême | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer | |