28 septembre 2008

Cherchez et vous trouverez

olive-arbre[1]


Quand le Christ te rencontre,
Tu ne t'y attends pas.
Tu rêves, tu vis tu cours,
Sans savoir où parfois
Et puis un jour tu sens que le Christ est là.
 
Il est sûrement venu quand tu n'lattendais pas
Il t'a peut être fait signe et tu n'le voyais pas .
Son souffle imprévisible est descendu sur toi
Et dépose en ton coeur cette brise qui fait revivre.
 
Mais si le Christ est là, c'est qu'il t'a choisi toi,
Toi car il sent que tu veux le suivre pas à pas.
 
Et quand le Christ arrive qu' il sent que tu es là
Pour accueillir de lui le brasier de la foi,
Il allume une flamme et ne l'éteindra pas.
 
Précieuse tellement fragile,
Peut être qu'elle vacillera mais chaque jour
Dans ta vie patiemment tu pourras la nourrir
D'huile de paix de pardon et de joie
En pressant tendrement les fruits du christ amour
 
Écoute sa parole et elle t'éclairera, fais confiance
Laisse germer les graines qu'elles plantent en toi
 
La récolte sera riche car oui tu répondras
Et le Christ vivant viendra porter ta croix
Comme toi tu as porté celle de l'attente
De la peur que ta vie ne sache plus prendre un sens
 
Mais le Christ nous dit ''cherchez et vous trouverez''
Florence Melon

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27 septembre 2008

JUS de SALADE

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On rêve de communauté où chacun, censément, serait le tout de l'autre.
 
Non pas comme des pommes sur le pommier où chacune est
Finalement pour soi et le soleil pour tous.
 
Ni comme des fruits dans une même corbeille : il y a diversité,
Mais juxtaposée.
 
Alors on invente la communauté passée dans la moulinette
Ou le mixer. Tout y passe en effet... La peau, les pépins.
Il en sort un jus uniforme, plein de vitamines.
Mais chacun y a perdu de sa personnalité.
 
C'était, dit-on, le résultat de certains ordres religieux autrefois.
C'est peut-être aujourd'hui l'idéal de telle communauté de base
Où l'on ne sait plus très bien reconnaître
Laïcs, religieuses, gens mariés, célibataires.
 
Une solution meilleure ? La salade de fruits.
Chacun reste lui-même : poire, pomme, banane, ananas.
Et chacun bénéficie du goût propre de l'autre.
 
Mais à une condition : accepter évangéliquement d'être coupé
En quatre, dix ou douze morceaux si l'on est un beau gros fruit.
Seuls, les très humbles restent entiers : une cerise, un grain de raisin, une groseille.
 
"Farandoles et Fariboles"
Jacques Loew
Ed. Fayard

26 septembre 2008

Apprends-moi, Seigneur

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Apprends-moi, Seigneur, à bien user du temps que tu me donnes pour travailler, et à bien l'employer sans rien en perdre. Apprends-moi à  tirer profit des erreurs passées sans tomber dans le scrupule qui ronge. Apprends-moi à prévoir le plan sans me tourmenter, à imaginer l'œuvre sans me désoler si elle jaillit autrement. Apprends-moi à unir la hâte et la lenteur, la sérénité et la ferveur, le zèle et la paix.
 
Aide-moi au départ de l'ouvrage là où je suis le plus faible. Aide-moi au cœur du labeur à tenir serré le fil de l'attention, et surtout comble Toi-même les vides de mon œuvre. Seigneur, dans tout labeur de mes mains, laisse une grâce de Toi pour parler aux autres, et un défaut de moi pour parler à moi-même.
 
Garde en moi l'espérance de la perfection, sans quoi je me perdrais d'orgueil. Purifie mon regard : quand je fais mal, il n'est pas sûr que ce soit mal et quand je fais bien, il n'est pas sûr que ce soit bien.   
-
Seigneur, ne me laisse jamais oublier que tout savoir est vain, sauf là où il y a travail, et que tout travail est vide, sauf là où il y a amour, et tout amour est creux qui ne me lie à moi-même et aux autres et à Toi.
 
Seigneur, enseigne-moi à prier avec mes mains, mes bras et toutes mes forces. Rappelle-moi que l'ouvrage de mes mains t'appartient et qu'il m'appartient de te le rendre en te l'offrant. Que si je le fais par goût du profit, comme un fruit oublié je pourrirai à l'automne. Que si je le fais pour plaire aux autres, comme la fleur de l'herbe je fanerai au soir. Mais si je le fais pour l'amour du bien, je demeurerai dans le bien. Et le temps de faire bien et à ta gloire, c'est tout de suite.
 
Amen.

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25 septembre 2008

HAÏTI, merci !

HaitiChildren[1]

lire ICI le billet précédent : un appel URGENT

Bonjour Franz,
 
Un tout grand merci pour votre coopération pour Haïti
Je te joins la lettre du Père Hostin
 
Marie-Thérèse Mertens – Salésienne coopératrice (belsud)
 
 
Chers amis,
 
Dans moins de 15 jours, la ville des Gonaïves a connu les jours les plus sombres de son histoire dus aux dégâts causés par les cyclones: Gustav, Hanna et Ike  La communauté salésienne qui est située à l'entrée de la ville des Gonaïves a été elle aussi sévèrement touchée:
 
-L'eau montait à 1,50 mètre dans les bâtiments à savoir: la résidence, la chapelle, l'administration et les ateliers de l'école.
 
-Dans la résidence, tous les lits, draps, taies d'oreiller, vêtements, se trouvant dans les chambres situées au rez-de-chaussée ont été inondés. Les documents de grande importance ont été détruits. Le four, le frigo sont devenus non-fonctionnels. Les 24 batteries et l'inverter ( ?)  qui servaient pour l'éclairage de la maison ont été touchés et deviennent par conséquent défectueux.
 
-dans l'école tous les bancs et les outils des ateliers ont été emportés ou cassés.
 
-Dans l'administration, l'eau a détruit les documents importants. Au 1er étage de l'administration, la communauté héberge plus ou moins 150 sans abris: Il s'agit des vieillards, des adultes, des jeunes et des enfants. Il y a même un bébé de deux mois. Tant que les maisons de ces gens-là restent sous l'eau, ils ne pourront pas quitter le local. Jusqu'à ce moment il y a encore des centaines de maisons qui sont sous l'eau, on peut voir seulement leur toit. Vous pouvez donc imaginer un peu la situation dramatique indescriptible dans laquelle vivent certaines personnes des Gonaïves.
 
-Sur la cour de la propriété il y a environ 150 mètres de clôture qui sont tombés. La résidence, l'administration, les ateliers et la cour sont remplis de boue.
 
-Les deux voitures de la maison ont été emportées, retrouvées mais ne peuvent pas démarrer
 
-Le système sanitaire de toute la communauté est non-fonctionnel
 
-Jusqu'à présent les membres de la communauté  sont bloqués, on est obligé de rester sur place. car à cause de l'eau, nous sommes coupés avec le reste du pays, surtout les gens qui habitent Bigot. Il y a une grande quantité d'eau qui nous empêche d'avoir accès à la route nationale #1.
 
-Les rues ou s'installent les banques et la plupart des maisons de transfert aux Gonaïves sont inondées. Il faut se rendre à St Marc, en acceptant de faire une partie de la route à pied pour pouvoir trouver une banque.
 
-Pour la nourriture on en a pour une semaine.
 
Devant une telle situation que faire?
 
La communauté, pour reprendre vie, devrait avoir:
-Des produits pour le nettoyage des endroits inondés: balai-détergents, tubes à pression-râteaux, pelles, brouettes
-Des produits pour la lessive: savon et autre
-Des médicaments pour les gens qui sont hébergés dans la communauté: remède pour la diarrhée, la malaria, la fièvre et la typhoïde
-Des centaines de camions de remblais pour mettre la cour sur une hauteur
-Des batteries (24) et un inverter ( ?)
-Du matériel pour reconstruire la partie de la clôture qui est tombée
-Du matériel domestique: lits-draps-matelas-nappes-serviettes- vêtements
-Du matériel liturgique: missel-liturgie des heures-aubes-chasubles-étoles......
-Des articles de toilettes: dentifrice-brosses à dents-savon-déodorants.
-De l'argent: Je n'ose pas mettre un montant. Mais devant ce désastre, nous avons beaucoup de choses à acheter à commencer par un peu de nourriture et de l'eau.
 
Je remercie tous ceux et celles qui se penchent sur le cas d'Haïti pour améliorer le sort de ce peuple qui mérite une grande attention de la part de la communauté internationale. .
 
Encore une fois merci du fond de mon cœur et que Dieu vous récompense au centuple.
  compte : 210-0658889-20 
communication : soutien HAÏTI
MERCI... encore !

Sur la Côte d'Azur, début novembre...

une proposition salésienne !

 
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un lieu à découvrir ICI


Bonsoir à tous,
 
Comme soeur Bénédicte vous l'a laissé entendre, je viens vers vous en ce début du mois de septembre pour vous présenter une initiative des jeunes anciens élèves de France.
 
Du 1er au 5 novembre, nous organisons un week-end alliant des temps de détente, des temps de prières et la rencontre avec trois intervenants exceptionnels qui viendront parler de leur vie et de leur foi : Christian Chesnot, journaliste à Radio France et qui a été otage en Irak ; le père Jean-Marie Petitclerc, salésien français qui fait partie depuis un an et demi du cabinet de la ministre française du Logement ; enfin, le général Philippe Morillon qui avait été à la tête de la FORPRONU lors de la guerre en ex-Yougoslavie, fut président du comité d'organisation des JMJ 97 à Paris et est aujourd'hui député européen (centriste).
 
Le programme est simple : le matin, une conférence-débat avec l'un des trois invités. L'après-midi, au choix, ou visite touristique dans le secteur ou détente sur place.
 
Ce week-end a en effet lieu dans un village de vacances construit par les anciens de Don Bosco et où, paraît-il, la piscine est encore très sympa à ce moment de l'année !!! Et le soleil presque garanti !
 
Dans un souci de toucher de jeunes anciens élèves, mais aussi de jeunes enseignants, éducateurs et proches des salésiens, célibataires ou en famille, nous avons appelé cette initiative "Week-end Don Bosco 20-40 ans". Cela dit, nous ne demanderons pas la date de naissance précise à l'inscription. L'âge, c'est d'abord une question de coeur et d'esprit !!
 
Nous avons prévu d'être une centaine de participants. Il reste des chambres libres. Les prix ont été tirés au maximum.
Pour le transport, nous mettrons sur pied des navettes auto à partir de l'aéroport international de Nice ou la gare TGV de Nice, qui sont à 30 km de Grasse.
 
Si vous souhaitez plus de renseignements ou vous inscrire, reportez-vous à la brochure jointe ou n'hésitez pas à me contacter. Nous serions ravis que la Belgique soit représentée ! N'hésitez pas non plus à diffuser cette invitation.
 
Fraternellement en Don Bosco,
 
Benoit Deseure
Tél. fixe : 03.20.22.44.25. 


 
 
Village Vacances
« Les Cèdres »
du samedi 1er novembre (après-midi)
au mercredi 05 novembre 2008 (midi)
 
 
week-end 20/40 ans
de rencontres et d’échanges,
 
 
alternant des périodes
de détente et de tourisme,
avec des interventions
de personnalités
et des débats,
dans l’esprit salésien
 
Tarif prévisionnel

175 euros / adulte

gratuit pour les enfants partageant la chambre des parents

 
S’inscrire ?
 
Découper et envoyer le coupon ci-dessous,
à   Cathy Six, 567B rue du Banc Vert
     59640   Dunkerque
avec un chèque de 20 euros pour la réservation.
Le reste sera à régler à l’arrivée.
Chèque à l’ordre de la Fédération nationale des Anciens de Don Bosco.

 

Se renseigner ? Donner un coup de main ? Une idée pour aider à financer ?

Contacter Florence et Jean-Philippe Rigaux,

au 03.27.95.28.01   (flogodo@club.fr)

ou Mélinda et Benoit Deseure,  

au 03.20.22.44.25   (bdeseure@yahoo.fr)