06 octobre 2010

Mon royaume est déjà en vous.

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Grâces te soient rendues, Seigneur pour la parole de ton Fils,
Semence de Vie qui fit jaillir le ciel et la terre.

âces te soient rendues, Seigneur, pour le souffle de l’Esprit,
Promesse de Vie qui ensemence en nous l’amour, la foi et l’espérance, secrètes énergies d’un monde en gestation.

Grâces te soient rendues, Seigneur, pour la mort et la résurrection de ton Fils, qui ont ouvert le temps de la moisson.
Par lui, ton Royaume est déjà parmi nous, par lui, ton Jour, le jour du Jugement, le temps du discernement est déjà commencé.

Grâces te soient rendues, Seigneur, car ton Royaume n’est pas pour demain, il est pour aujourd’hui.
En tout
acte d’amour, de partage, d’amitié, de solidarité et de pardon, chaque jour de notre vie, en chacune de nos décisions, mûrit la moisson où tu jettes déjà la faucille.

Michel HUBAUT

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05 octobre 2010

Pour te dire que je T'aime

Voici notre prière "FLASH" de la semaine : 

 



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T’accueillir.

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Pour t’accueillir,
Pour préparer notre terre,
Pour croire en toi,
Notre grand Seigneur,
Rien d’extraordinaire n’est à faire !

Il suffit d’avoir un cœur limpide et sans tricherie,
Il suffit d’avoir un regard doux et sans méchanceté.
Il suffit de passer sur ses lèvres le sourire et la joie,
Il suffit d’ouvrir ses mains pour donner et partager.
Il suffit d’être attentif et fidèle à ta Parole.
Il suffit d’aimer sans compter sa tendresse.
Il suffit d’écouter ton appel et de changer de vie, Seigneur !

Tu peux venir, Seigneur, la terre et ses habitants,
pour toi, changent les couleurs de la vie.

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04 octobre 2010

C’est Toi que j’adore

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Lorsqu’éclate la merveille de l’univers et que la beauté habille les visages et les cœurs,
Lorsque la symphonie des créatures fait sourdre en moi un chant de joie,

Ô mon Dieu, je T’adore.

Lorsque le silence enveloppe les battements de mon cœur et que la terre au creux de la nuit vient se reposer, Quand tout est calme et passivité,

Ô mon Dieu je T’adore.

Quand bondit la vie, joyeuse et généreuse,
Quand jaillissent les hymnes de fête et que tout proclame l’ivresse d’exister,

Ô mon Dieu je T’adore.

Ô Toi qui es toujours devant moi, sans cesse plus loin et au-delà,
Toi pour qui il faut tout quitter,
Toi l’essentiel et l’Unique nécessaire vers qui nous marchons les mains ouvertes et tendues,
Toi, l’inaccessible lumière à l’horizon de nos ténèbres, qui illumines notre chemin quotidien,

Toi, Dieu de tout Amour je T’adore.

Toi, l’inconnu au cœur de toute gratuité,
Toi, la source de toute beauté et le jaillissement de toute abondance,
Toi le trésor caché dans notre champ et la perle que recueille le pèlerin,

Toi, Dieu de toute Eternité, je T’adore.

Accueille les premières herbes de ma récolte et les espaces vides de mes nuits.
Recueille l’exubérance de mon allégresse et les larmes de mes jours de tristesse.

Ô mon Dieu car c’est Toi que j’adore.

Charles DELHEZ

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03 octobre 2010

Ballotin du dimanche 3 octobre

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« Le cœur indifférent est comme une boule de cire entre les mains de son Dieu, pour recevoir semblablement toutes les impressions du bon plaisir éternel : un cœur sans choix, également disposé à tout, sans aucun autre objet de sa volonté que la volonté de son Dieu… »  (T.A.D. IX, 4)

« Que vous puissiez bientôt guérir, si c’est la plus grande gloire de Dieu, si moins, que puissiez-vous amoureusement souffrir, tandis qu’ainsi le requerra la providence, afin que, guérissant ou souffrant, le bon plaisir divin soit exercé. »  (Lettre à Mme de la Fléchère  1609,  n° 545)

« Ma Philothée, les possessions que nous avons ne sont pas les nôtres : Dieu nous les a données à cultiver et veut que nous les rendions fructueuses et utiles, et partant nous lui faisons service agréable d’en avoir soin. »  (I.V.D. 3, XV)

« J’approuve bien le peu parler, pourvu que ce peu que vous parlerez fasse gracieusement et charitablement, et non point mélancoliquement, ni artificiellement.  Oui, parlez peu et doux, peu et bon, peu et simple, peu et rond, peu et aimable. » (Lettre à une religieuse de l’abbaye de Ste Catherine  n°2010)

« Il ne faut pas vouloir que tous commencent par la perfection ; il importe peu comme l’on commence, pourvu que l’on soit bien résolu de bien poursuivre et de bien finir. »  (Lettre à la Mère de Chastel  1622   n°1903)