12 novembre 2014

DONNE CE QUE TU AS

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Donne tout ce que tu as,
tout ce que tu es,
on n’est jamais aussi riche que lorsqu’on donne.
Regarde les avares, ils sont tristes …
Donne; tout ce que Dieu a mis en toi, c’est pour le donner

Donne ton sourire, même si tu souffres.
Donne de ton temps, même si tu préfères être seul.
Donne de ton savoir à celui qui ignore et marche dans la nuit.
Donne de ton amour, si toi-même tu as été déçu dans ton amour.
 
Es-tu triste ?
Cherche à rendre service autour de toi,
cherche à consoler, cherche à soulager une peine et tu trouveras la joie. 

Recherche en tout la plus petite parcelle de joie.
Joie de se réveiller le matin et de revivre une journée !
Cela compte, tu sais, quand les jours s’amenuisent au fil de la vie.
Joie de voir luire le soleil, d’entendre vivre autour de soi.
Joie d’avoir des amis sur qui l’on puisse compter.
Joie d’être aimé. Tant ne le sont plus, ou pas, ou jamais.
Joie de savoir que cette vie nous en prépare une autre, 
avec Dieu pour l’Éternité.
 
Marie-Noëlle Moreau
dans "Prières glanées" de Guy Gilbert
 
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11 novembre 2014

11 novembre

En cette année du centième anniversaire du début de la 1ère guerre mondiale, pensons aux victimes de tous les conflits passés ou présents.
 

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Seigneur, Dieu de bonté et de miséricorde, qui nous avez envoyé votre Fils Jésus-Christ pour apporter le Salut de la Vie, ayez pitié de tous nos frères, que vous avez appelés à vous dans les circonstances tragiques de la guerre !
 
Nous vous prions pour ceux qui vous ont connu, aimé et servi : donnez-leur ce que, dans toute la force de leur espérance chrétienne, ils ont tant désiré durant leur séjour ici-bas.  
 
Nous vous prions pour ceux qui ne vous ont point connu, mais qui ont cherché toute leur vie dans l’inquiétude et l’angoisse de leur âme, et qui ne vous ont trouvé que dans la mort.
 
Nous vous prions enfin pour ceux qui ne vous ont ni connu, ni même cherché, et que, cependant, vous n’avez cessé d’aimer.  Ils vous ont quand même servi en faisant loyalement et courageusement leur devoir jusqu’à l’ultime sacrifice.
 
Ayez pitié, Seigneur, des uns et des autres !  Ils sont tous vos enfants.  Donnez-leur à tous la vie éternelle dans la lumière et la paix.
 
(www.dioceseauxarmees.catholique.fr)
 
 

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10 novembre 2014

Le temps qui file ...

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La vie nous file entre les doigts. Les semaines, les mois, les années passent à la vitesse de l’éclair. Un jour nous nous retrouvons au seuil de la vieillesse. Puis soudain nous arrivons au bout de notre route.
 
Aurai-je eu le temps de dire à l’être merveilleux qui a partagé ma vie combien je l’aime, et le remercier pour tout le bonheur qu’il m’a apporté, pour la famille qu’il m’a donnée, pour tous ces merveilleux souvenirs que nous nous sommes construits jour après jour, pour avoir su partager mes peines comme mes joies tout au long de notre vie ensemble?
 
Aurai-je eu le temps de dire à mes enfants qu’ils sont le plus beau cadeau que la vie m’ait donné? Qu’à travers eux, j’ai revécu ma jeunesse, j’ai appris la tolérance et qu’ils m’ont aidé à atteindre mon idéal; celui de les mettre au monde, de les voir grandir et devenir de jour en jour ma fierté, et surtout combien je les aime?
 
Aurai-je eu le temps de dire à mes petits- enfants qu’ils sont le rayon de soleil de mes vieux jours? De leur dire tout l’amour que j’ai au fond de mon cœur pour ces petits êtres si fragiles, si purs et qui deviendront un jour des femmes et des hommes responsables, et combien ils sont précieux pour moi?
 
Aurai-je eu le temps de dire à mes sœurs et mes frères combien j’ai été choyé(e) d’avoir fait partie de leur famille, d’avoir partagé avec eux les jeux de notre enfance, de notre complicité, de nous avoir forgé de merveilleux souvenirs? De les remercier d’avoir su toujours conserver intacts les liens qui sont le noyau de notre belle famille?
 
Aurai-je eu le temps de dire à mes amis(es) combien leur passage dans ma vie est précieux pour moi? À quel point je leur suis reconnaissant(e) de leur présence indéfectible à chaque étape de ma vie? Et surtout, à quel point je les apprécie et que c’est pour moi un privilège qu’ils m’aient choisie pour ami(e)?
 
Aurai-je eu le temps de dire à mes parents lorsqu’ils étaient encore de ce monde combien je les aimais et combien ils ont été importants pour moi? De les remercier de m’avoir donné la vie, d’avoir su semer le bonheur au sein de notre famille, de m’avoir enseigné l’amour du prochain, la justice et surtout de m’avoir montré la route pour devenir la personne que je suis aujourd’hui?
 
Trouverai-je le temps ?  Il n’est jamais trop tard pour trouver le temps... 
 
(source inconnue)
 

09 novembre 2014

Tu ne mourras jamais ...

 

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Si tu éprouves de la joie à partager ce que tu as et ce que tu es avec les autres, 
si tu désires ardemment faire équipe avec tous ceux qui travaillent à l’éclosion d’une "civilisation d’amour", 
si tu mets tes dons au service des malheureux de ton pays, 
sois en sûr, ami, tu ne mourras jamais.
 
Si tu peux compter au nombre de tes amis ceux qui ne brillent pas dans notre société, 
si tu refuses d’accuser injustement tes compagnons de travail, 
si tu souhaites du fond du cœur leur réussite, 
sois en sûr, ami tu ne mourras jamais.
 
Si tu écoutes le cri sourd de millions d’êtres humains qui souffrent de la faim, de l’injustice et de l’oppression à travers le monde, 
si tu acceptes de lutter de toutes tes forces pour changer le visage ensanglanté de ton pays, 
si tu t’opposes aux mesures injustes qui font lentement mourir les pauvres de ton pays, 
sois en sûr, ami, tu ne mourras jamais.
 
Si tu lis le nom de Dieu dans le visage de l’étranger, 
si tu acceptes de boire la coupe de solitude et de mépris à cause de ta foi en l’amour, 
si tu as suffisamment de courage et de sérénité pour accepter tes erreurs et tes défauts, 
sois en sûr, ami, tu ne mourras jamais.
 
Hérold Toussaint
(dans "Prière glanées" de Guy Gilbert)
 
 

08 novembre 2014

Pardonner, c'est pas facile !

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Seigneur, nous avons souvent l’occasion de pardonner.
Tu nous l’as appris dans le «Notre Père »,
Pardonne-nous comme nous pardonnons....
Mais, ce n’est pas toujours facile....
 
Demander pardon, reconnaître ses erreurs,
Oublier son orgueil...Avoir l’impression de plier...
Non ce n’est pas facile....
 
Pardonner...
Je pardonne mais je n’oublie pas !!!
C’est vrai que cela aussi c’est difficile.
 
Tu nous as pourtant montré l’exemple,
juste avant de mourir,
Sur la croix, tu as demandé à ton Père
De pardonner à ceux qui te torturaient.
Il t’en a fallu du courage pour pardonner.
 
Non, tu nous l’as montré,
pardonner ce n’est pas de la faiblesse.
C'est de la force.
C'est la force de l'amour.
 
Jeannine Jéral.
 
 

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