16 août 2014

Don Bosco 1815-2015

3-2.jpgAnnée du bicentenaire de la naissance de Don Bosco, c'est parti !

16 août 2014, jour de l'anniversaire de la naissance de Saint Jean Bosco, le Recteur Majeur des salésiens de Don Bosco, le père Ángel Fernández Artime présidera au Colle Don Bosco les festivités pour l'ouverture du bicentenaire ! 

« L'Année Bicentenaire nous offre l'occasion de rendre plus solide la Famille Salésienne du point  de vue spirituel et apostolique, mais aussi de donner une visibilité à ce grand Mouvement suscité par Don Bosco. Sa figure est, pour nous, source d'inspiration. Il sera intéressant de relever les défis, les problématiques, les besoins, les attentes des jeunes d'alors et de les confronter avec ceux d'aujourd'hui pour donner, non pas les réponses de Don Bosco, mais les nôtres, orientées sur son modèle (…). Notre intention est d'accueillir et de communiquer la grandeur du charisme de Don Bosco, qui n'appartient pas seulement au monde salésien mais à toute l'Église et à la Société. » Père Francesco Cereda -Vicaire du Recteur Majeur

A ce propos, la rédaction de Don Bosco Aujourd'hui est heureuse de vous annoncer l'ouverture du site dédié au bicentenaire :

2015.don-bosco.net

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Il y a deux cents ans naissait Don Bosco (1815-1888), Père et maître de la jeunesse et fondateur de la grande famille salésienne. À l’occasion de cette date anniversaire, les provinces religieuses de France et de Belgique sud organisent de nombreux événements.

 

Oh ! Frère Roger

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Oh ! Frère Roger,
 
Je me souviens de ta voix tel un doux murmure,
Venu de tes entrailles où l'Amour logeait,
Je me souviens de ton visage de Lumière,
Comme un parfum de Dieu sur cette terre,
De tes mains délicates qui pensaient chaque geste,
De tes écrits superbes il nous reste ta vie,
Celle que tu auras vécue au cœur des incompris,
Frère Roger tu es la plus belle fleur de Dieu,
Il t'avait planté amoureusement pour que nous bougions,
Dans nos certitudes d'être seuls à détenir l'Amour.
Tu voulais le monde comme une rosée de tendresse,
Un sourire donné aux âmes blessées et qui n'en peuvent plus
Tu écoutais les silences et tu interprétais ces souffrances,
Non dites car trop difficiles à formuler.
Toi, tu trouvais les mots justes et simples,
Ceux qui parlent aux cœurs des meurtris,
Des gens simples pauvres en leur destin.
Frère Roger plus je médite tes paroles,
Et plus je m'aperçois que tu évoquais l'éternité,
Des jours qui viennent à nous,
Comme une semence de la Présence de Dieu.
Cette éternité tu l'avais méditée et aimée,
Avant de la rencontrer pour mieux rencontrer,
Dieu en Son éternel Amour dans lequel tu vis,
Désormais...
 
Bruno LEROY
 

15 août 2014

Regardez l’étoile

 Bonne Fête !

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Lorsque vous assaillent les vents des tentations,
lorsque vous voyez paraître les écueils du malheur,
regardez l'étoile, invoquez Marie.

Si vous êtes ballottés sur les vagues de l'orgueil, 
de l'ambition, de la calomnie, de la jalousie,
regardez l'étoile, invoquez Marie.

Si la colère, l'avarice, les séductions charnelles 
viennent secouer la légère embarcation de votre âme,
levez les yeux vers Marie...

Dans le péril, l'angoisse, le doute,
pensez à Marie, invoquez Marie.
Que son nom ne quitte ni vos lèvres ni vos coeurs!
Et pour obtenir son intercession, 
ne vous détournez pas de son exemple.

En la suivant, vous ne vous égarerez pas.
En la suppliant, vous ne connaîtrez pas le désespoir.
En pensant à elle, vous éviterez toute erreur.

Si elle vous soutient, vous ne sombrerez pas;
si elle vous protège, vous n'aurez rien à craindre;
sous sa conduite vous ignorerez la fatigue;
grâce à sa faveur, vous atteindrez le but.

Saint Bernard
 
 
NOUVEAU :

14 août 2014

N'attends pas…

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N'attends pas un sourire …
pour être gentil.

N'attends pas d'être seul …
pour reconnaître la valeur d'un ami.

N'attends pas d'être aimé …
pour aimer.

N'attends pas de meilleur emploi …
pour commencer à travailler.

N'attends pas d'avoir beaucoup …
pour partager.

N'attends pas la chute …
pour te rappeler du conseil.

N'attends pas la douleur …
pour croire à la prière.

N'attends pas d'avoir le temps …
pour pouvoir servir.

N'attends pas la douleur de l'autre …
pour demander des excuses.

N'attends pas la séparation …
pour te réconcilier.
 
Car tu ne sais pas combien de temps…
 
D'après le message canadien transmis sur internet
en conclusion de la semaine de l'amitié - novembre 2000
 

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13 août 2014

Croire avec des jeunes

 

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Je crois en la vie. Quand on est donneur de vie, on est toujours gagnant.

Je crois aux jeunes qui changent et en leur capacité de changer. Ils nous poussent en avant, dérangent nos sécurités, ouvrent des sentiers nouveaux.

Je crois que Dieu est présent dans leurs mutations de nouvelles générations. Ces mutations sont une chance pour les jeunes, pour nous et pour l'Église dans le monde.

Je crois en la vie de Dieu agissant dans l'expérience des jeunes. Dans leurs cris de joies et de souffrances, résonne l'écho de la parole de Jésus. Dans leurs initiatives pour le bien, se dessine le mouvement de l'Esprit.

Je crois que, dans la vie et dans les rêves des jeunes, s'exprime le désir du Royaume, d'un monde plus humain et fraternel.

Je crois que, dans la foi cachée des jeunes d'aujourd'hui, l'Esprit souffle le renouvellement de l'Église et du monde.

Je crois que, dans la croissance des jeunes, le temps, c'est important. Leur maturation, leur quête de sens empruntent parfois des routes sinueuses. C'est sans doute l'expression d'un désir profond d'autonomie, d'authenticité et de liberté.

Je crois que, dans les attentes des jeunes il y a une recherche profonde de points de repère, de valeurs fondamentales et d'adultes signifiants. Je crois qu'au fond les jeunes ressemblent à ceux et celles qui les précèdent. Ils n'ont rien inventé du monde dans lequel ils vivent. Les générations précédentes leur ont tout appris ou presque. Je crois que faire route avec les jeunes, c'est leur exprimer notre reconnaissance et un brin d'espérance.

Jean Guy Roy s.c.
Extrait du livre "La cathédrale et la roulotte"