Salésien(ne)s Coopérateurs de Don Bosco

Charles Singer

Les Salésiennes de Don Bosco ou « Filles de Marie-Auxiliatrice » réunies en chapitre à Rome depuis le 18 septembre, viennent d’élire leur nouvelle « Mère générale » ce 24 octobre, dans un climat joyeux et très fraternel : Sœur Yvonne Reungoat, salésienne française âgée de 63 ans qui, après avoir été provinciale en France et en Afrique de l’Ouest, était dans le conseil général depuis 12 ans comme visitatrice et puis comme vicaire générale. Elle remplace Sœur Antonia Colombo qui était à la tête de l’Institut depuis 1996. Dans les jours qui viennent, la  nouvelle vicaire et les autres conseillères seront élues à leur tour.

Quatre sœurs belges participent à ce chapitre : Srs Bénédicte Pitti et Geneviève Pelsser représentent les sœurs de la partie francophone du pays, Srs Thérèse Angelet et Hilde Bosmans celles de la partie néerlandophone.  

Les capitulaires sont 193, de 56 nationalités différentes et représentent les 91 pays où vivent, en tout, 15 000 salésiennes : 16 membres du chapitre viennent d’Afrique, 66 d’Amérique, 32 d’Asie, 61 d’Europe et 2 d’Océanie… sans compter les 16 sœurs du conseil général.

Ensemble, toutes ces salésiennes évaluent le chemin parcouru depuis six ans par leur Institut consacré à l’éducation et à l’évangélisation et réfléchissent aux orientations à prendre pour les six ans à venir. Un temps de grâce qui montre la vitalité du charisme salésien dans le monde et à quel point les jeunes se ressemblent malgré leurs différences culturelles : que les sœurs viennent des îles Samoa, de Thaïlande, de Slovénie, d’Ethiopie ou de Bolivie, toutes parlent d’un monde de plus en plus complexe où tant de jeunes se sentent désorientés et ont besoin plus que jamais de repères crédibles : de personnes enracinées en Dieu, dont la joie leur donnent envie de vivre ! Un fameux défi.

Photo de Sr Yvonne : voir page d’ouverture du site www.cgfmanet.org

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extrait de  "365 méditations de soeur Emmanuelle"

Editions Presses de la Renaissance, 2008

source : www.croire.com

Au delà du départ et de la séparation nous avons un devoir de mémoire.

Celui de creuser, à son image, le vide en nous et notre soif de Dieu.

C'est en buvant à cet Amour que nous donnerons aux autres la soif de le découvrir ...