02 novembre 2016

La flamme de l’espérance

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L’homme n’est pas fait pour mourir. C’est pourquoi la mort d’un proche nous fait tant souffrir. Brusquement, nous ne savons plus rien de l’être aimé. Où est-il parti ? Que ressent-il maintenant ? Quand vais-je le revoir ?

Cette attente après la mort peut être très difficile. Il faut se forcer à vivre malgré l’absence, trouver le courage de reprendre les activités quotidiennes, garder en soi la flamme de l’espérance et en éclairer d’autres dans leur propre chagrin. Tout ceci éprouve nos forces et, souvent notre foi.

Seul le maître peut dissiper les ténèbres de nos impatiences ou de nos doutes. En effet, lui seul peut réunir tous ceux qui l’aiment.

… La mort nous tourne vers Dieu. Mais qui attend qui, finalement ? Dieu est autant celui que nous attendons que celui qui nous attend.

Un véritable Père ne peut abandonner ses enfants.

Nos défunts sont pour nous le rappel de cette promesse divine. Le bonheur que nous avons vécu ensemble ne se disperse pas après la mort, au contraire. Nous partageons cette espérance avec ceux qui nous ont précédés sur le chemin de la vie…

Penser à nos défunts ne doit pas être source de tristesse ou de regret, de colère ; il nous est donné de contempler le projet de Dieu pour l’homme : un monde de paix, une immensité et une éternité d’amour qui a déjà commencé pour chacun d’entre nous.

D’après P.E.E.

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