01 août 2014

UN AIR DE VACANCES…

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Un rayon de soleil, un peu de bonne humeur,
Font plus que les grands voyages !
Une pelouse tondue et une haie coupée,
Des amis en visite et les petits potins
Font plus que les rencontres rares !
 
Si nous partions en vacances à la maison ?
En famille ? Passer du temps à jouer,
A bavarder, à s’aimer, à se parler…
Seul ? Se réjouir des congés,
Dans l’attente d’une visite.
 
Vacances : prendre du temps
Pour découvrir la beauté du quotidien,
Même s’il est monotone,
Parce qu’au cœur de toute une vie,
La quête du bonheur domine.
 
Les vacances ne sont pas une fuite.
Elles sont aventure et détente.
Qui dit qu’elles se déroulent au loin ?
Services et sourires sont ici.
 
Prendre du temps
Pour souffler, pour reprendre souffle,
Pour se laisser habiter par la vie,
Et en approfondir le sens.
 
Au cœur de toute chose,
Tristesse et joie,
Il est quelqu’un que tu ne connais pas.
Il cherche à partager ta joie ou solitude.
Il cherche à te parler, à t’aimer.
 
Si tu vas plus loin, il est là aussi.
Là aussi, il te parle,
Par la beauté des paysages,
Par la vérité des rencontres,
Par ses témoins sur ton chemin
 
T . SCHOLTES.
 
 

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31 juillet 2014

La vraie joie

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« La vraie joie est une disposition de l’âme qui, par-delà les difficultés, les obstacles et les chagrins, est capable de ressentir la vie comme un don de Dieu, un don pour lequel elle éprouve de la reconnaissance et le besoin de remercier.
Si vous voulez recevoir souvent les visites de la joie, cultivez en vous ce sentiment de gratitude envers le Créateur, et non seulement envers le Créateur mais aussi envers la nature, envers les êtres humains.

Ainsi, même quand vous n’aurez aucune raison particulière de vous réjouir, ce sentiment que vous vous serez habitué à entretenir viendra vous prendre par surprise… Comme ces amis très chers qui arrivent quelquefois à l’improviste vous faire une visite à laquelle vous ne vous attendiez pas. »
 
Omraam Mikhaël Aïvanhov
 

30 juillet 2014

Partir

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Si je vais partir, c'est que je suis déjà parti.
Dès l'instant où j'ai pu m'arracher à moi-même,
cette décision de partir, mon départ a déjà eu lieu.
Le plus dur n'est pas de partir, mais de le vouloir.
Toutes les raisons sont bonnes pour ne pas partir :
le coeur a ses habitudes, l'âme ses tranquillités, 
le corps ses fatigues, les yeux leur horizon
et le visage son cercle.
 
Il n'existe donc pas de départ sans séparation.
Le départ est donc toujours un acte créateur.
Il rend possible. Il ouvre un espace.
Accepter de partir, c'est accepter qu'il soit un avenir, 
c'est reconnaître que tout n'a pas été dit.
C'est affirmer que notre monde 
n'est pas notre prison, 
et que notre temps n'est pas sans issue.
 
Jean Debruynne
 
 
 

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29 juillet 2014

Le possible et le déraisonnable

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Vis le possible et le déraisonnable 
comme si l’orage devait te surprendre dans le déclin du jour. 
Il y a des éclats d’arbre sur ta page.
Les mots ne finissent jamais 
même après la sentence de la foudre. 
Tu étais un chêne. Tu es un humain. 
N’oublie jamais l’essence végétale de ton être. 
Puisses-tu vivre en paix et reposer ton âme 
même au creux des foules majuscules. 
Il y a tout au centre de toi un basculement infime. 
Vers la douceur de vivre. Après la pluie.
 
© Patrick Chemin
Le 5 octobre 2012
 

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28 juillet 2014

L'âne du fermier

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Un jour, l'âne d'un fermier est tombé dans un puits. L'animal gémissait pitoyablement pendant des heures, et le fermier se demandait quoi faire. Finalement, il a décidé que l'animal était vieux et le puits devait disparaître de toute façon, ce n'était pas rentable pour lui de récupérer l'âne. Il a invité tous ses voisins à venir et à l'aider.

Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à enterrer l'âne dans le puits. Au début, l'âne a réalisé ce qui se produisait et se mit à crier terriblement. Puis à la stupéfaction de chacun, il s'est tu.

Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement regardé dans le fond du puits et a été étonné de ce qu'il a vu.
 
Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui, l'âne faisait quelque chose de stupéfiant. Il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus. Pendant que les voisins du fermier continuaient à pelleter sur l'animal, il se secouait et montait dessus.  Bientôt, chacun a été stupéfié que l'âne soit hors du puits et se mit à trotter!'

La vie va essayer de t'engloutir de toutes sortes d'ordures. Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer. Chacun de tes ennuis est une pierre qui permet de progresser. Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n'arrêtant jamais.

Il ne faut jamais abandonner! Secoue-toi et fonce!

Rappelle-toi, les cinq règles simples ! À ne jamais oublier, surtout dans les moments les plus sombres.

Pour être heureux / heureuse :
-1. Libère ton cœur de la haine.
-2. Libère ton esprit des inquiétudes.
-3. Vis simplement.
-4. Donne plus.
-5. Attends moins.
 
(source inconnue)