02 avril 2013

Quand je vois le regard d’un enfant.

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Quand je vois le regard d’un enfant qui sourit à la vie, quand je sais la joie du malade qui peut enfin marcher, quand un prisonnier est accueilli sans rancune et sans haine, quand un jeune peut parler avec un adulte en confiance, je sais qu’un homme, Jeshua de Nazareth, a prêché cela. Je l’ai appris par Pierre, qui lui-même le tenait de Jean et d’André et de tous ceux qui ont été les amis de cet homme.

Il allait de ville en ville, il parlait de son Père. Il disait l’amour à tous ceux qu’il rencontrait. Un amour exigeant, brûlant comme un feu, dévorant les mous et les tièdes. Un amour de braise qui ouvre chaque homme à tout homme, ne laissant personne dans l’oubli et la solitude.

Aujourd’hui, d’ami à ami, de bouche à oreille, on se rappelle cela… on se redit ses paroles, on refait ses gestes d’amitié. Des fleurs continuent de pousser, l’amour fleurit encore, timidement. C’est à nous qu’il dit : « Prends la route », deviens pèlerin de l’absolu.

Jean-Louis REGIS.

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