30 mai 2013

Des fleuves de vie

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Les eaux d'un fleuve parviennent en des régions si lointaines que ceux qui habitent à sa source n'en ont jamais entendu parler. Jésus nous dit que si nous recevons Sa Plénitude, si petits que nous soyons, Sa Vie de bénédiction se répandra hors de nous jusqu'aux extrémités de la terre. Ce n'est certes pas nous qui produisons le fleuve ou qui en dirigeons le cours. "L'œuvre de Dieu, c'est que vous croyiez..." Dieu permet bien rarement à une âme de se rendre compte à quel point elle fait du bien aux autres.

Un fleuve ne se laisse jamais arrêter, il triomphe de tous les obstacles. Tant qu'il le peut, il poursuit régulièrement son large cours. Survient une barrière : il suspend son cours un peu de temps, mais bientôt il a trouvé moyen de tourner l'obstacle. Quelquefois il disparaît des yeux, s'engouffre sous terre, et reparaît après plusieurs kilomètres, plus large et plus majestueux que jamais.

 II y a autour de vous des vies dont Dieu se sert, même si la vôtre semble arrêtée par un obstacle. Fixez vos regards sur Celui qui est la Source de votre vie. Dieu vous fera contourner l'obstacle ou l'enlèvera de votre route. Le fleuve de l'Esprit triomphe de tous les obstacles. Ne tenez pas vos yeux fixés sur la difficulté qui vous arrête, mais regardez à la Source, et le fleuve continuera de couler, sans se préoccuper d'aucun obstacle. Mais que rien ne vous sépare de Jésus-Christ, la Source suprême. Que rien n'intervienne entre vous et lui.

Quelle chose admirable qu'il puisse sortir de nos faibles petites âmes des fleuves abondants d'eau vive!  Dieu nous révèle des vérités merveilleuses, et chacune d'elles nous indique mieux et la puissance et la fécondité de ces fleuves de Vie.

Bruno LEROY.

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24 mai 2013

Marie, le printemps de ma vie

Dans mes "aujourd'hui", Marie
Fais toutes choses nouvelles,
Au coeur de ma vie
Sois comme le printemps, Marie ...


Le mois de mai, c'est le mois de Marie ...
Tout petit, je me rappelle ces premières fleurs cueillies dans les près, ces arbres fleuris et la joie en ce printemps enfin retrouvé !

Tout petit, je me rappelle les "Je vous salue, Marie" qui, récités comme une musique si belle, en ce mois de mai, accompagnaient la nature nouvelle ...

Tout grand pourtant, et je ne savais dire pourquoi, s'il était un mois de l'année où j'avais envie de chanter, c'était bien au mois de mai.

Mais aujourd'hui, où mon âge n’a plus que l’espérance des jours à venir, je le crois et je le sais, lorsqu'on a la chance d'être né un jour de mai..., c'est que Marie est au cœur même de la vie !

Et alors mon chant devient prière pour celle que je salue comme Mère et cette musique sans cesse me rappelle la fleur cueillie et l'arbre fleuri de mes printemps d'enfance...

En ce 24 mai, laissons parler notre cœur d'enfant et disons-lui tout simplement: aujourd'hui, je te salue, Maman.

Bonne fête de Marie-Auxiliatrice !

A+,    Franz

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22 mai 2013

Un petit quelque-chose...


On a tous en nous, quelque chose de fort, d'insoupçonnable, d'unique, qui fait toute la différence.

Quand on est au bout, quand on est fatigués, que tout se casse la figure autour de nous, que le sort s'acharne continuellement, que tout va de travers, qu'on tombe sans arrêt, qu'on se lève le matin pour souffrir et qu'on n'attend plus que la nuit pour dormir et oublier... A tout instant, en nous, quelque part, se cache un petit quelque chose qui peut nous permettre de repartir, comme une petit graine magique qu'on planterait par désespoir de cause...

J'ai horreur quand on me dit "regarde ailleurs, il y a toujours pire que soi"... C'est peut-être vrai, mais j'ai une sainte horreur de devoir me réjouir d'être mieux que d'autres... Ce n'est pas en constatant que d'autres souffrent plus que moi, que je vais aller mieux, car je n'aime pas voir les autres souffrir...

Non, trouver en soi la force de s'en sortir... ou juste de sortir la tête de l'eau, et nager jusqu'à la rive pour s'y reposer, çà oui, je préfère... c'est plus sain, plus honnête, aussi. Et moins égoïste, surtout !

Parfois, quand on est vraiment au bout, et bien souvent, c'est quand on s'y attend le moins, qu'on trouve ce petit quelque chose magique, et on est aussi surpris que contents, de l'avoir trouvé...

Quoi ? Où ? Comment ?

Cà, c'est à chacun, de le trouver, car c'est un petit quelque chose d'unique en chacun de nous... différent pour chacun, car chacun sa vie, chacun son destin, chacun sa propre force... chacun son petit quelque chose...

Dulce

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19 mai 2013

Annonce l'Evangile !

Bonne fête !
Pentecôte : le temps du souffle et du feu !

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" Malheur à moi si je n'annonce pas l'Evangile (…) En annonçant l’Evangile, j’offre gratuitement l’Evangile "  (1ère Epître aux Corinthiens 9, 16-18)

Et si nous devenions chacun à notre manière, des témoins vivant du Christ tout comme saint Paul, animé du feu de l’Esprit, pour qu’annoncer l’Evangile soit pour nous plus que nécessaire, un surcroît de la Grâce, la joie de faire connaître à tous le bonheur de croire… 

« Puisque tes Paroles, ô mon Dieu, ne sont pas faites pour rester inertes dans nos livres, mais pour nous posséder et pour courir le monde en nous, permets que, de ce feu de joie allumé par Toi, jadis, sur une montagne, et de cette leçon de bonheur, des étincelles nous atteignent et nous mordent, nous investissent et nous envahissent. Fais que, comme ''des flammèches dans les chaumes'', nous courions les rues de la ville, nous longions les vagues des foules, contagieux de la Béatitude, contagieux de la joie »  

Madeleine Delbrêl
 

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17 mai 2013

Dis-moi !

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Dis-moi !

Toi, l’homme qu’on dit sage !
Tu as de nombreux enfants !
Peux-tu nous dire lequel est ton préféré ?

Celui de mes enfants que je préfère,
... c’est celui qui est le plus petit jusqu’à ce qu’il soit devenu grand.

Celui de mes enfants que je préfère,
... c’est celui qui est parti au loin jusqu’à ce qu’il soit de retour.

Celui de mes enfants que je préfère,
... c’est celui qui est malade jusqu’à ce qu’il soit guéri.

Celui de mes enfants que je préfère,
... c’est celui qui est en prison jusqu’à ce qu’il ait retrouvé la liberté.

Celui de mes enfants que je préfère,
... c’est celui qui est triste jusqu’à ce qu’il ait retrouvé le sourire.

Celui de mes enfants que je préfère,
... c’est celui qui est dans la peine jusqu’à ce qu’il soit consolé.

Jean Humenry

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