11 juillet 2011

L’amour qu’on donne

Fête de la Communauté Flamande de Belgique.  Bonne fête !

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L’amour qu’on donne enrichit infiniment plus que celui qu’on reçoit.

 

Un homme aux cheveux blancs portait toujours avec lui une burette d’huile, en quelque lieu qu’il allait…S’il passait par une porte qui grinçait sur ses gonds, il en versait quelques gouttes. Si ses hôtes avaient peine à ouvrir un portail en fer, il huilait la serrure. Quand une voiture d’enfant avançait en couinant, il proposait à la maman ses services en mettant quelques gouttes d’huile sur les rouages rouillés. Et la poussette pouvait repartir allégrement.

On avait surnommé cet homme « Monsieur Burette ».  Il rendait plus facile la vie de bien des gens.

N’avons-nous pas, nous-mêmes, à mettre un peu d’huile, je veux dire un peu plus d’amour, là où ça grince et ça coince ?

Pasteur Lucien Clerc – Lueur.org

 

 

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09 juillet 2011

Un amour en action

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Devenu infirme, cloué dans son fauteuil, un croyant sincère souffrait de se sentir inutile.

Un ami lui suggéra d’écrire à des prisonniers de sa connaissance. C’est ce qu’il fit en mettant dans ses lettres toute la bonne humeur et l’amour dont il était capable. Mais il déplora de ne recevoir aucune réponse. Son zèle risquait de se refroidir.

Un jour il reçut une lettre portant le cachet de la prison.

Ce n’était pas un prisonnier qui lui écrivait, mais un gardien qui le priait d’employer à l’avenir du papier plus fort, tout simplement parce que ses lettres, passant de main en main, tombaient en lambeaux.

Ainsi donc, ses efforts pour témoigner de l’amour à ces détenus n’étaient pas vains...

 

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07 juillet 2011

LA BIBLE ET LE TELEPHONE PORTABLE

 

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Pouvez-vous imaginer ce qui se passerait si nous traitions la Bible de la même manière que nous traitons notre téléphone portable ?

Si nous transportions la Bible dans notre porte-documents, dans notre mallette, à la ceinture ou dans la poche de notre veste ?
Si nous y jetions un coup d’œil plusieurs fois par jour ?
Si nous retournions la chercher quand nous l’avons oubliée à la maison ou au bureau ?
Si nous pouvions nous inquiéter dans le genre : « Zut ! j’ai oublié ma Bible ! »
Si nous l’utilisions pour envoyer des messages à nos amis ?
Si nous la traitions comme si nous ne pouvions plus vivre sans elle ?
Si nous l’emmenions en voyage, au cas où nous aurions besoin d’aide ou de secours ?
Si nous y mettions la main en cas d’urgence ?

Imaginez combien de fois vous manipulez votre portable dans la journée !
Et … combien de fois vous regardez simplement votre Bible !!!

Contrairement au téléphone portable, la Bible a toujours du réseau.
Nous pouvons nous y connecter dans n’importe quel endroit.
Nous n’avons pas besoin de nous soucier du manque de crédit,
parce que Jésus a déjà payé la facture, les recharges…et les crédits sont illimités.

Encore mieux : la communication n’est jamais coupée, la batterie est chargée pour la vie entière....

« Cherchez le Seigneur tant qu’il se laisse trouver, invoquons-le tant qu’il est proche » (Is 55,8)

 

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06 juillet 2011

VACANCES…

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               La marchande de légumes semble avoir ciré ses tomates et ses poivrons avant de les disposer sur l’éventaire, un gosse porte une baguette plus haute que lui ; un chien tient un journal dans sa gueule ; un gamin nez en l’air heurte la bordure et se rétablit in extremis sur son vélo ; en haut des escaliers d’une villa un grand barbu essaie maladroitement de déployer une poussette d’enfant ; je croise deux coureurs euphoriques, un fonctionnaire peu habitué aux courses, le sac à provisions ballant au bout du bras ; un vieux monsieur fraîchement rasé et délicatement parfumé ; une vieille dame fait observer à son chien d’un ton gourmand : « Mm ! il  va faire beau. » Plaisir.

D’où renaît cette aptitude à saisir chaque instant ? Est-ce parce qu’il n’y a pas d’horaire contraignant, aucune urgence ? Est-ce le dépaysement ? Est-ce le retour à une vie plus saine, plus sportive, plus proche de la nature ?

« vacance » au singulier : « état  d’une place, d’une charge non occupée. »

J’ai mal au cœur quand je vois quelqu’un marcher le nez sur ses souliers ou une femme tirer impatiemment un enfant qui veut s’attarder sur le sable, une adolescente colée à la vitrine d’une boutique de fouffes à la mode, un visage « préoccupé » sur un corps « en tenue de vacancier ».

Nous nous laissons voler notre joie d’être !

Colette Nys-Mazure

 

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05 juillet 2011

Prière pour poursuivre le chemin

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Seigneur,

Puissent tes Paroles, si fortes et si mystérieuses
Nous aider à reprendre un nouvel élan
Afin de poursuivre le chemin encore et toujours.
Plutôt que de nous laisser habiter par l'inquiétude,
Ouvrons grand la porte à cette paix
Que Tu nous offres : la paix du cœur.
Confiants dans ta promesse d'être un jour
Tous unis en Toi, travaillons
Dès aujourd'hui à construire des passerelles
Entre nous, à surmonter nos divisions,
Partout où nous sommes : dans nos familles,
Au travail, dans notre immeuble,
Notre quartier ou notre village.
Oui, il y a en nous d'infinies énergies
De compassion. Oui, il y a un bonheur,
Dans le don de soi pour les autres.
Viens, Seigneur, Te faire proche pour libérer
En nous cette force d'amour.
Viens nous aider à nous pacifier nous-mêmes
Afin de porter la paix aux autres.
Avec Toi, apprenons à devenir
Des porteurs de confiance.

Jean-Claude Noyé

 

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