19 mars 2016

Un sourire, c'est grandiose !

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Un sourire, c’est grandiose.
C’est une lumière un peu rose
Dans l’infini du désespoir,
C’est une étoile dans le soir.

Un sourire, c’est un parfum
Qui se répand, qui se promène,
C’est une barque qui ramène
Un peu d’espoir au cœur défunt.

Un sourire est une vie
Et, quand, parfois, on l’aperçoit,
Un peu de courage se lie
Au rêve qui ne finit pas ! 

Paul BIRON

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15 mars 2016

Même pas peur !

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N'ayez pas peur d'être ses témoins,
en tout temps de partager son pain
par l'accueil, l'écoute du cœur,
chaque jour, à chaque heure...

N'ayez pas peur d'être ses amis,
à tout homme de parler de Lui,
avec vos gestes de tendresse
pour l'être égaré, en détresse…

N'ayez pas peur d'être ses prophètes,
pour que se lève un chant de fête
parmi les hommes entrant en liberté
de vivre, choisir, bâtir, aimer...

N'ayez pas peur d'être ses sanctuaires
en chaque rencontre, en tout instant,
offrant l'amour à chaque frère :
étranger, ami, parent, passant...

Bernadette Thésin

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13 mars 2016

Comment faire boire un âne qui n'a pas soif...

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"Comment faire boire un âne qui n’a pas soif ? Et comment, toute révérence gardée, donner la soif et le goût de Dieu aux hommes qui l’ont perdus ? Et qui se contentent du pastis ou du whisky, de la télé ou de l’auto ?..

Des coups de bâton ? Mais l’âne est plus têtu que nos bâtons. Et cette méthode ancienne est déclarée trop directive par les éducateurs d’aujourd’hui. 

Lui faire avaler du sel ? Pire encore et qui relève presque des tortures psychiatriques.

Comment donc faire boire cet âne en respectant sa liberté ? 

Une seule réponse : trouver un autre âne qui a soif... et qui boira longuement, avec joie et volupté, au côté de son congénère. Non pas pour donner le bon exemple, mais parce qu’il a fondamentalement soif, vraiment, simplement soif perpétuellement soif. Un jour, peut-être, son frère, pris d’envie, se demandera s’il ne ferait pas bien de plonger, lui aussi, son museau dans le baquet d’eau fraîche.

… Des hommes ayant soif de Dieu, plus efficaces que tant d’âneries racontées sur lui."

Jacques LOEW

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12 mars 2016

En confiance !

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Une grande partie de nos relations quotidiennes dépassent rarement un seuil minimum : « bonjour », « bonsoir », quelques mots sur les uns et les autres ou encore à propos du temps qu’il fait.

Nous n’avons pas si souvent que cela la possibilité d’échanger, de nous livrer, de parler de ce que nous vivons.

Pour cela, il faut vraiment se sentir en confiance. C’est évidemment plus facile en famille, avec des mais, mais là encore, des blessures, des peurs peuvent nous bloquer sur certains sujets.

La confiance ne se décrète pas, elle se construit au fil du temps.

Ce qui est vrai dans nos relations avec les autres, l’est aussi avec le Seigneur. C’est dans la prière au jour le jour que le lien se tisse ou plutôt qu’il se révèle, que les appréhensions tombent, que l’Esprit fait son œuvre en nous : il fait grandir la foi.

(auteur inconnu)

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11 mars 2016

Les deux joies

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Il y a la joie qui vient du dehors
Et il y a celle qui vient du dedans.
Je voudrais que les deux soient tiennes.
Qu’elles remplissent les heures de ton jour et les jours de ta vie.
Car lorsque les deux se rencontrent et s’unissent,
Il y a un tel chant d’allégresse que ni le chant de l’alouette
ni celui du rossignol ne peuvent s’y comparer.

Mais si une seule devait t’appartenir,
si pour toi je devais choisir,
je choisirais la joie qui vient du dedans.

Parce que la joie qui vient du dehors
est comme le soleil qui se lève le matin et qui, le soir, se couche.
Comme l’arc-en-ciel qui paraît et disparaît,
comme la chaleur de l’été qui vient et se retire.
Comme le vent qui souffle et passe.
Comme le feu qui brûle puis s’éteint…
Trop éphémère, trop fugitive…

J’aime les joies du dehors.
Je n’en renie aucune.
Toutes, elles sont venues dans ma vie quand il le fallait…
Mais j’ai besoin de quelque chose qui dure,
de quelque chose qui n’a pas de fin, qui ne peut pas finir.
Et la joie du dedans ne peut pas finir.
Elle est comme une rivière tranquille,
Toujours la même, toujours présente.

Elle est comme le rocher,
comme le ciel et la terre qui ne peuvent ni changer ni passer.
Je la trouve aux heures de silence, aux heures d’abandon.
Son chant m’arrive au travers de ma tristesse et de ma fatigue.
Elle ne m’a jamais quitté.

C’est Dieu – c’est le chant de Dieu en moi,
cette force tranquille qui dirige les mondes
et qui conduit les hommes

et qui n’a pas de fin, qui ne peut pas finir.

Il y a la joie qui vient du dedans
Et il y a celle qui vient du dehors.
Je voudrais que les deux soient tiennes.
Qu’elles remplissent les heures de ton jour et les jours de ta vie.
Mais si une seule devait t’appartenir,
si pour toi je devais choisir,
je choisirais la joie qui vient du dedans.

(auteur inconnu)

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