10 janvier 2009

Chemin salésien

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Communion: avec le Christ, avec les autres...

Heureux: le Salésien coopérateur essaye de vivre les béatitudes, de propager la joie, l'espérance ...

Evangilele Salésien coopérateur essaye de vivre l'Evangile dans le concret, dans le quotidien...

Marie: don Bosco disait: "Dans ma vie, c'est Elle qui a tout fait".  Le Salésien coopérateur lui confie sa vie ainsi qu'à Jésus.  Il a confiance en la Providence.

Initiatives: le Salésien coopérateur se rend disponible pour aider les jeunes d'aujourd'hui à découvrir combien ils sont habités par un Dieu qui les aime tels qu'ils sont et qui les appelle à grandir dans toutes les dimensions de leur vie et donc aussi en intériorité.  (vie de famille, catéchèse, mouvements ... )

Nouveauté: rénover, être inventif, c'est l'art du Salésien coopérateur.

Sainteté: le Salésien coopérateur se nourrit de la Parole de Dieu pour en témoigner, et en se laissant guidé par l'Esprit vers la sainteté.

Affection: "amorevolezza" "bonté affectueuse" ... don Bosco invite à gagner les cœurs...

Liberté: le Salésien coopérateur s'engage à rendre la réalité sociale conforme à l'idéal évangélique.

Eglise: le Salésien coopérateur travaille en lien avec l'Église locale.  Il y favorise la place des pauvres, des plus petits et en particulier les jeunes.

Sacrements: le Salésien coopérateur éduque les jeunes à la rencontre avec le Christ à travers les Sacrements

Idéal: le salésien tend à vivre un idéal.  En suivant le chemin de sainteté proposé par don Bosco à travers le Règlement de Vie Apostolique, il va à la rencontre de Dieu dans tout ce qu'il vit...

Eucharistie: c'est dans l'Eucharistie que le Salésien coopérateur puise à la source de la charité pastorale.

Naître: et renaître dans le baptême reçu pour continuer avec la force de la Foi, dans la rencontre fraternelle...

Brigitte Butez

 

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31 décembre 2008

Allez !

Bonnes routes 2009 sur les chemins salésiens du monde... "là où vous êtes plantés !"



" Allez..." nous dites-vous à tous les tournants de l'évangile.
 Pour être dans votre sens, il faut aller,
Même quand notre paresse nous supplie de demeurer.
 
Vous nous avez choisis pour être dans un équilibre étrange.
Un équilibre qui ne peut s'établir et tenir que
Dans un mouvement, que dans un élan.
 
Un peu comme un vélo qui ne tient pas debout sans rouler,
Un vélo qui reste penché contre un mur
Tant qu'on ne l'a pas enfourché,
Pour le faire filer bon train sur la route.
 
La condition qui nous est donnée
C'est une insécurité universelle, vertigineuse.
 
Dès que nous nous prenons à la regarder,
Notre vie penche, se dérobe.
 
Nous ne pouvons tenir debout que pour marcher,
Que pour foncer, dans un élan de charité.
 
C'est dans un libéralisme un peu fou
Que joue l'aventure de votre grâce.
 
Vous vous refusez à nous fournir une carte routière.
Notre cheminement se fait de nuit.
Chaque acte à faire à tour de rôle s'illumine
Comme des relais de signaux.
 
Souvent la seule chose garantie c'est cette fatigue régulière
Du même travail chaque jour à faire,
Du même ménage à recommencer,
Des mêmes défauts à corriger,
Des mêmes bêtises à ne pas faire.
 
Mais en dehors de cette garantie,
Tout le reste est laissé à votre fantaisie
Qui s'en donne à l'aise avec nous.

 

Madeleine Debrêl

Joie de croire page 94

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30 décembre 2008

Berceuse de la mère de dieu

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Mon dieu qui dormez, faible entre mes bras,
Mon enfant tout chaud sur mon cœur qui bat,
J'adore en mes mains et berce, étonnée,
La merveille, ô dieu, que vous m'avez donnée.
 
De fils, ô mon dieu, je n'en avais pas, (...)
Mais vous, tout-puissant, me l'avez donné.
De bouche, ô mon dieu, vous n'en aviez pas
Pour parler aux gens perdus d'ici-bas. (...)
Ô mon fils, c'est moi qui te l'ai donnée.
 
De main, ô mon dieu, vous n'en aviez pas
Pour guérir du doigt leurs pauvres corps las. (...)
Ô mon fils, c'est moi qui te l'ai donnée.
 
De chair, ô mon dieu, vous n'en aviez pas
Pour rompre avec eux le pain du repas. (...)
Ô mon fils, c'est moi qui te l'ai donnée.   
 

Poème de Marie Noël

extrait de "Patapon", revue catholique mensuelle des enfants de 5 à 11 ans - Editions Téqui

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27 novembre 2008

Qui vient à notre porte ?

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Qui vient à notre porte
Frapper en pleine nuit
C’est Dieu qui nous apporte le froid
Des sans-logis
Pour lui nos mains raniment la flamme déjà morte
Et lui nous illumine d’un feu de paradis.
 
 
Le pauvre dont personne,
Ne veut s’embarrasser
C’est Dieu quand il se donne
Les traits de l’étranger.
Il prend de nos langages,
Les mots qui nous étonnent,
Il prend de nos visages,

 Que ton Amour, Seigneur, soit sur nous,

Comme notre espoir est en toi !

 
                La parole du Seigneur est droite,
                Tout ce qu’il fait est sûr à jamais
                Il aime la justice et la loyauté,
                    La terre est remplie de sa grâce.

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25 novembre 2008

La trace de ses pas.

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Arrivé au terme de sa vie, un homme fit ce rêve étrange :

 

« Je marchais sur une longue place, et regardant en arrière, je vis tout au long du chemin deux traces de pas fort semblables, sur le sable au bord de la mer. Et je pensai que c’était la trace des pas du Seigneur et celles de mes empreintes à moi.

 

J’en fus tout heureux.

 

Mais en les regardant de plus près, il me sembla tout à coup qu’en plusieurs endroits, je ne voyais plus qu’une seule trace de pas qui s’enfonçaient plus profondément dans le sable.

 

En repassant le déroulement de ma vie, je compris qu’il s’agissait des moments difficiles que j’avais rencontrés.

 

Alors, je me suis mis à me plaindre et à faire des reproches : »Seigneur, je vois que c’est justement dans les moments difficiles que Tu m’as laissé seul ! Or, Tu m’avais promis d’être toujours à mes côtés : pourquoi m’as-tu abandonné aux jours où j’avais le plus besoin de ta présence ?

 

Et c’est alors que j’entendis comme si le Seigneur me répondait : »Mais non ! Je ne t’ai jamais laissé seul !  Dans les moments difficiles de souffrance et de découragement, quand tu ne vois plus qu’une seule empreinte de pas et que cette trace s’enfonce dans le sable, ce sont mes pas à moi que tu aperçois, parce qu’alors je te portais sur mes épaules ».

 

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