15 mai 2012
Murmures de vie.

Dans le va-et-vient incessant des vagues, 
 On peut entendre ces  murmures à peine perceptibles…
Confie-Moi tes peines, je les transformerai en joie.
Donne-Moi la haine qui est en toi, j’en ferai de l’amour.
Déclare-Moi tes peurs, je te fournirai l’assurance.
Crie-Moi ta colère, je remplirai ton cœur de sérénité.
Remets-Moi tes souffrances,
Je les remplacerai par l’endurance et la guérison.
Appelle-Moi dans l’obscurité,
Je te rassurerai de Ma présence.
Consacre-Moi ta vie,
Et je te mènerai à la vie éternelle.
Je t’écoute, je suis là, même si tu ne me vois pas
Je suis partout, je suis en toi,
Je te connais mieux que toi-même
Je suis ce qui est et ce qui reste à venir,
Je suis l’espoir dans la détresse,
le pardon dans la rancune
Je suis l’amour dans la haine qui l’entoure,
La prospérité dans le partage.
Je suis là où l’on ne m’attend pas
pour tous et non pour toi seul,
Je suis Dieu la Vie…
 Pascale WITTENDAL, de Lourdes.
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14 mai 2012
En voies...

Y a d’abord ceux qui ont choisi la paix, les doux, les rêveurs et les plus discrets. Ceux qui aiment le silence, le calme dans lanuit, la prière intense, loin de tout bruit. 
Et puis alors ceux qui rayonnent de joie, ceux qui mettent le feu, qui respirent pour trois. Un Ichthus dans le dos, une trappiste à la main, silhouette qui danse jusqu’au rouge du matin. 
Y a aussi ceux qui sont un peu des deux, sources d’espoir et de respect autour d’eux. Tous ces éclats qui forment l’arc-en-ciel, où la nuance de chacun est essentielle. 
Qui que tu sois, tu trouveras ta voie, elle est là, et elle n’attend que toi. Ecoute-la, marche sans peur. Elle te guidera car elle veut ton bonheur.
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12 mai 2012
Bonne fête Maman !
Ce 13 mai, c'est la fête des Mères en Belgique.
En France, ce sera le 3 juin...
Mais au fond de notre coeur, nous le savons bien
c'est chaque jour que nous fêtons son amour.

LES MAMANS
Pour tout être sur terre,
 Le mot le plus limpide est celui de « mère »
 Et l’appel le plus doux celui de « maman ».
 Ces menues lettres aux sublimes valeurs
 Sont pétries d’espoir et d’amour
 Et de tout ce qui est beau et pur
 Dans le cœur de l’Homme.
 La mère est tout dans la vie.
 Elle est la consolation dans la tristesse,
 Le secours dans la détresse,
 La force dans la faiblesse.
 Elle est la source de la tendresse,
 De la compassion et du pardon.
 Celui qui perd sa mère,
 Perd un sein où poser sa tête,
 Une main qui le béni et
 Un regard qui le protège. 
 
 Khalil Gibran
PRIERE D’UNE MERE
Seigneur, tu le sais bien, je suis occupée, 
 Je manque toujours de temps,
 Je suis une mère.
 Je ne t’apprends rien en te disant 
 Que c’est très difficile d’être mère de nos jours. 
 Voilà pourquoi, je te demande de m’aider,
 De me laisser puiser à même ta force.
 Seigneur, même si je suis une mère, 
 Je reste encore ton enfant.
 Je t’ouvre mon cœur simplement. 
 Donne à ma voix un peu de douceur,
 Donne à mon regard et à mes gestes 
 Un peu de tendresse. 
10 mai 2012
J'appelle, dit Dieu

 
 On me dit que mes enfants, les hommes, ont des problèmes d'emploi.
 Moi, j'appelle, dit Dieu. J'embauche tout le temps,
je suis sur la place pour embaucher dès 6H00 du matin.
 J'y suis à 9H00, j'y suis à 14H00.
 J'y suis encore à 5H00 du soir, alors que la journée va s'achever; 
à ce moment, moi, j'embauche encore.
Et moi je paie, dit Dieu.
 Je ne paie pas à l'heure, ni au mois, ni aux pièces.
 Moi je paie à l'éternité..  
Parfaitement: 
une éternité de bonheur pour celui qui aura travaillé pour moi quelques heures, 
quelques semaines, quelques mois, quelques années.
 Et j'appelle tous ceux qui veulent.
 Je ne demande ni BAC, ni BEPC, ni CAP, ni BTS, ni diplôme d'aucune sorte.
Je ne demande que de la bonne volonté, la volonté de travailler;
 j'appelle pour tous les métiers.
 J'ai besoin de cantonniers, car il est écrit :
"Préparez les routes du Seigneur, rabotez les collines et rectifiez les virages...".
J'ai besoin de cantonniers pour préparer la route de mon retour.
 En créant un monde moins inégal et plus droit,
en luttant contre les injustices et les misères,
 En rendant les routes de la vie moins dures et moins pénibles
 pour les hommes, mes fils, pour les hommes, vos frères…
J'ai besoin d'infirmiers, de bons samaritains,
 ceux qui soignent les maladies du corps et surtout de l'âme,
 ceux qui ramassent dans les fossés les blessés de la vie,
les abandonnés de la route...
J'ai besoin de vignerons et de moissonneurs,
 car "la moisson est abondante et les ouvriers peu nombreux".
J'appelle tous ceux qui sont prêts à récolter
 la moisson des bonnes volontés qui ne savent où s'adresser,
 la vendange des joies qui ne savent avec qui se partager...
Surtout, surtout, j'ai besoin de bergers,
 "car j'ai pitié de ces foules, qui sont comme des troupeaux sans pasteurs".
 Ceux par les mains de qui je partagerai à tous les affamés
le Pain de ma Parole,
 le Pain de mon Corps et le Vin de mon Sang...
Venez tous, dit Dieu, j'appelle; il y a du travail pour tous,
j'emploie tout le monde...
 Et ce soir, après la journée de travail, 
tous ensemble, avec Moi, vous ferez la fête ! 
Texte trouvé sur la feuille paroissiale des Contamines, en Haute-Savoie, le 3 août 1997
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30 avril 2012
La cithare du bonheur

C'était un homme droit et sincère qui cherchait le chemin du bonheur, qui cherchait le chemin de la vérité. Il alla un jour trouver un vénérable maître soufi dont on lui avait assuré qu'il pourrait les lui indiquer. Celui-ci l'accueillit aimablement devant sa tente et, après lui avoir servi le thé à la menthe, lui révéla l'itinéraire tant attendu : « C'est loin d'ici, certes, mais tu ne peux te tromper : au cœur du village que je t'ai décrit, tu    trouveras trois échoppes. Là te sera révélé le secret du bonheur et de la vérité. »
La route fut longue. Le chercheur d'absolu passa maints cols et rivières. Jusqu'à ce qu'il arrive en vue du village dont son cœur lui dit très fort : « C'est là le lieu ! Oui, c'est là ! » Hélas ! Dans chacune des trois  boutiques il ne trouva comme marchandises que rouleaux de fils de fer dans l'une, morceaux de bois dans l'autre et pièces éparses de métal dans le troisième. Las et découragé, il sortit du village pour trouver   quelque repos dans une clairière voisine.
La nuit venait de tomber. La lune remplissait la clairière d'une douce lumière. Lorsque tout à coup se fit   entendre une mélodie sublime. De quel instrument provenait-elle donc ? Il se dressa tout net et avança en direction du musicien. Lorsque, stupéfaction, il découvrit que l'instrument céleste était une cithare faite de morceaux de bois, des pièces de métal et des fils d'acier qu'il venait de voir en vente dans les trois échoppes du village.
A cet instant, il connut l'éveil. Et il comprit que le bonheur est fait de la synthèse de tout ce qui nous est déjà donné, mais que notre tâche d'hommes intérieurs est d'assembler tous ces éléments dans l'harmonie.
Conte soufi
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