02 décembre 2013
Renouveler notre intimité avec le Seigneur

Bruno LEROY.
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01 décembre 2013
BONHEUR D’AVENT

Tu viens partager notre condition humaine et marcher avec nous en ce monde. Tu viens enseigner les chemins de la paix. Aux cœurs en attente et aux esprits éveillés tu viens manifester ton inlassable proximité à tous les moments de l’existence humaine.
Vraiment, Seigneur, c’est un temps pour la joie ! Car nous te regardons, toi, qui viens partager toutes les heures de notre vie, qu’elles soient tristes ou heureuses, graves ou joyeuses. Aux cœurs vigilants et aux esprits préparés, tu viens révéler la fidélité de ton amour.
Tu viens ouvrir le chemin du salut pour tous, sans aucune exception, et annoncer que personne ne sera abandonné au pouvoir du mal et de misère.
Parfois,
Dans le désarroi et la tristesse.
Serait-ce dû à l’absence
des messagers de la Bonne Nouvelle
ou à leur discrétion
ou à leur invisibilité ?
S’il est vrai que la présence de Dieu
est une joyeuse nouvelle pour la terre,
alors comment se fait-il
que je reste tellement silencieux ?
Un pas en Avent chaque jour :
(cliquez sur une bougie...)
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28 novembre 2013
ALLONS, COURAGE !

Donne un petit instant à Dieu
Ferme la porte et mets-toi à sa recherche.
A présent, parle, mon cœur : Je cherche ton visage ;
Saint Anselme extrait du Désir de Dieu
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21 décembre 2012
Emilienne, c’était Noël !

Laissez-moi vous raconter l’histoire d’Emilienne, la coqueluche des jeunes de notre équipe.
Un soir de Noël, deux mecs traînant dans un bistrot de La Villette découvrent Emilienne, seule en face de son petit rouge. Ils me la ramènent séance tenante. ʺElle était toute seule. Ça ne se fait pas, cette nuit-là.ʺ
C’est comme ça qu’Emilienne, quatre-vingt-cinq ans, atterrit dans notre permanence. Pas gênée du tout, elle s’installa au bout de la table. Le festin, pauvre mais riche de bruits de fourchettes et d’expressions joyeuses du terroir parisien, commença.
Timide d’abord, Emilienne se coula au milieu de la bande à une vitesse stupéfiante. Les mecs découvraient, en une soirée, la richesse et la pauvreté d’une vie qui ressemblait à la leur, hormis l’âge avancé.
Adoptée Emilienne !
De Noël en Noël, ses jambes se dérobaient : tout le reste était vivant ; les mecs allaient la chercher. Les gros bras musclés soulevaient comme une plume ses vieux os qu’ils aimaient tant.
Elle passa cinq Noëls avec nous. Elle en parlait trois mois avant, elle en parlait trois mois après ; ça lui faisait passer la moitié de son année.
Et puis, un jour, elle disparut du quartier. On nous dit qu’elle était à l’hôpital. Toute la bande arriva, mais trop tard. Elle était déjà dans le cercueil ; ils la contemplèrent un moment. Et puis, un mec lâcha en guise de brève oraison funèbre : ʺEmilienne, c’était Noël !ʺ
Guy Gilbert
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PS : Aujourd'hui, n'oubliez pas de parler de la FAIM du monde...
Aujourd'hui ? ... Et demain encore, et encore chaque jour... n'oubliez pas !
20 décembre 2012
Comme une bougie…

Je suis une bougie.
Tu m’as allumée et tu regardes ma lumière.
Tu rêves, tu penses, tu es heureux de me voir.
Moi, en tout cas, je me réjouis d’être allumée.
Car si je ne brûlais pas, je serais dans ma boîte,
enfermée, je n’aurais pas de sens, pas de rôle dans une vie.
Je n’existe vraiment que quand brille ma lumière.
Mais depuis que ma lumière rayonne, en brûlant, j’ai rapetissé.
C’est dommage, je m’use, et bientôt je ne serai plus qu’un petit lumignon.
Mais je suis tellement heureuse de servir, d’être utile !
Je n’ai qu’une vie, je la vis à fond.
Je ne regrette pas de brûler,
même si un jour je m’éteins.
Tous, nous n’avons qu’une vie comme la bougie.
Autant la vivre brûlant qu’enfermé dans une boite,
par peur des coups de vent, des critiques ou de l’usure.
Si nous brûlons, nous remplissons notre tâche.
Les gens se réjouissent de notre présence et nous sommes heureux.
N’ayons pas peur si, en brûlant, on devient plus petit ;
c’est seulement de l’extérieur !
Car de l’intérieur, nous serons de plus en plus grands.
Donnez votre joie,
votre affection,
votre temps, v
otre argent.
Ne les gardez pas pour vous seuls.
La vie en boîte est tellement triste !
La vie donnée,
c’est tellement beau qu’on ressemble à Dieu !
Vite, une bougie, qu’on voie clair !
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