N'attends pas !
Écris ton avenir au feu de tes desirs,
le monde est à batir, la parole à tenir.
Dieu t'invite à partir au feu de son désir
c'est à toi de choisir, tu es fait pour agir !
Du chant "Écris ton avenir" - EPHATA - écouter un extrait : [ ]
Le 16 août 2014, jour de l'anniversaire
de la naissance de Don Bosco,
le Recteur Majeur des salésiens de Don Bosco, le
père Ángel Fernández Artime a présidé au Colle Don Bosco
les festivités pour l'ouverture du bicentenaire !
« L'Année Bicentenaire nous offre l'occasion de rendre plus solide la Famille Salésienne du point de vue spirituel
et apostolique, mais aussi de donner une visibilité à ce grand Mouvement suscité par Don Bosco.
Sa figure est, pour nous, source d'inspiration. Il sera intéressant de relever les défis, les problématiques, les besoins,
les attentes des jeunes d'alors et de les confronter avec ceux d'aujourd'hui pour donner, non pas les réponses de Don Bosco,
mais les nôtres, orientées sur son modèle (…). Notre intention est d'accueillir et de communiquer la grandeur du charisme
de Don Bosco, qui n'appartient pas seulement au monde salésien mais à toute l'Église et à la Société. »
Père Francesco Cereda (Vicaire du Recteur Majeur)
À ce propos, la rédaction de Don Bosco Aujourd'hui
est heureuse de vous annoncer l'ouverture du site dédié au bicentenaire : 2015.don-bosco.net.
Vous pourrez y suivre toute l'actualité ainsi que l'agenda des événements
organisés dans le cadre de cette célébration.
Le 22 septembre prochain à Rome, s'ouvrira le Chapitre Général XXIII
“Être aujourd'hui avec avec les jeunes une maison qui évangélise” c’est le thème choisi pour le prochain Chapitre Général. Quels horizons peut-il offrir pour l’avenir de l’Institut?
Les horizons pour l’avenir de l’Institut sont ceux d’une revitalisation du charisme en dialogue avec notre temps, ...
Lire la suite de cet entretien avec Mère Yvonne
«Tout cela offense gravement Dieu ,
tout cela offense gravement l'humanité !
On n'apporte pas la haine au nom de Dieu !
On ne fait pas la guerre au nom de Dieu !»
Pape François - angélus du 10 août 2014
Notre monde est pris dans la spirale de la violence, des crimes gratuits, des fanatismes assasins
et tous les coups semblent permis. Et cette violence s'enracine également dans nos sociétés malades de ses profits, de ses égoïsmes
et de ses choix politiciens partisans. Nos démocraties sont fragiles et certains responsables politiques n'hésitent pas à entretenir un climat de haine et de refus de l'autre, magnifiant ainsi l'intolérance, terreau des dérives extrémistes.
Le bon sens se perd dans la culture stérile de l'opposition choissisant son camp au gré des campagnes électorales.
Certes, nous voudrions tellement construire un monde meilleur.
Cependant, ce monde meilleur, c'est souvent dans le vide des mots que nous le bâtissons, nous contentant
de crier notre impuissance ou pire, en vivant dans la confortable indifférence de nos reniements.
Parce que le monde ne se limite pas aux frontières de nos égoïmes et de nos convictions,
allons dans l'au-delà des mots et osons une autre société en rejoignant dans le concret de notre vie
toutes les personnes qui dans l'humble service de chaque jour battent le pavé des solutions toutes faites
pour entrer en relation et partager ainsi la richesse d'une présence :
lorsque les mots deviennent tendresse, les maux souvent cessent...
Des choix à vivre plus qu'à dire...
Dans son Étrenne 2013, le Père Chavez, Recteur Majeur, écrit :
«Dans un monde profondément changé par rapport à celui du dix-neuvième siècle,
pratiquer la charité selon des critères étroits, locaux, pragmatiques,
en oubliant les dimensions les plus amples du bien commun, aux niveaux national et mondial,
serait une grave lacune d’ordre sociologique et même théologique.
Concevoir la charité seulement comme une aumône, une aide d’urgence, signifie risquer d’évoluer
dans un milieu de "faux samaritanisme" ».
Par ailleurs, dans notre Projet de Vie Apostolique, il est dit explicitement que les Salésiens Coopérateurs
« visent à la formation d’une conscience critique adulte pour participer de manière
responsable à la vie sociale dans les milieux de la culture, de l’économie et de la
politique » (Règlement 2, 2).
Extrait du chant "Écris ton avenir" - EPHATA
Puisque tu crois que de tes mains
se façonne le quotidien,
n'aie pas peur à chaque matin
de caresser la vie qui vient.
Chacun a besoin d'être artiste,
d'être rêveur, ou sur la piste.
Viens dire au jour pourquoi t'existes,
le monde oubliera d'être triste.
Ci-dessous, quelques articles à consulter pour soutenir notre réflexion,
nous donner des éléments pour analyser et comprendre les différents enjeux.
Pour nous permettre également de définir les choix politiques et économiques en cohérence avec la Foi que nous professons,
marquée par les valeurs de solidarité, de respect de la personne et de sa dignité. Pour témoigner ainsi notre identité chrétienne et être là où nous sommes, source de Joie et d'Espérance.
Bonne réflexion, bonne rentrée,
Franz Defaut, sc
Quelques "Uto-Pistes" à suivre...
- Idolâtrie de l'argent:
le pape dénonce le système économique du Pape FrançoisLe travail veut dire dignité, veut dire rapporter du pain à la maison, savoir aimer : le pape François s’est fait l’avocat des travailleurs, des entrepreneurs qui se battent, dans la crise économique, pour un travail digne et animés par le service du bien commun et l’espérance chrétienne ...
[ Lire la suite ]
- Travail et témoignage chrétien: l'honnêteté du Pape François
« Tout chrétien, à son poste de travail, peut porter témoignage, par ses paroles et encore avant par une vie honnête. » ...
[ Lire la suite ]
- Europe : l'économie a besoin des migrants Une réflexion de Mgr Tomasi
Les migrants sont « indispensables pour l’économie des pays développés », affirme le Saint-Siège qui appelle l'Europe à promouvoir « des canaux légaux pour leur arrivée » mais aussi à travailler au développement des pays d'origine des émigrés.
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- Erreur de diagnostic de Gaël Giraud
Selon l'économiste jésuite, la politique d'austérité budgétaire aggrave la spirale de la déflation. Pour l'auteur d'«Illusion financière», c'est d'abord aux banques de se désendetter. L'État, lui, devrait s'engager d'urgence dans la transition énergétique.
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- La dictature de la consommation de Jacques ATTALI
La bataille qui se joue depuis au moins deux siècles entre l’économie et la politique, entre le marché et la démocratie, entre le capitalisme et l’État, tourne désormais à l’avantage du marché, parce qu’il est global, au détriment de la démocratie, enfermée dans des frontières.
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L'électeur face à son miroir
d'Éric de BeukelaerLe fait que nos politiques ne tiennent pas leurs promesses électorales ne fait pas d’eux des "pourris". Ils sont le reflet de ce que nous sommes. Et nous ne sommes pas non plus des saints ...
[ Lire la suite ]
«Pour construire la communauté, chacun doit utiliser son don (qui est différent pour chacun). La jalousie est un des fléaux qui détruisent la communauté. Elle vient de ce qu’on ignore son propre don ou qu’on n’y croit pas assez. Si on était assez convaincu de son propre don, on ne jalouserait pas celui des autres qui paraît toujours plus beau. Ce ne sont pas seulement les membres faibles qui ont besoin des forts, mais même les forts ne sauraient vivre sans les faibles. Nous sommes faits pour être nourriture les uns pour les autres,
mais surtout pour vivre cette relation unique avec notre Père en son fils Jésus.» Jean Vanier
« Au soir de notre vie, nous ne serons riches que des liens
que nous aurons tissés jour après jour. »
«
Devant tant de jeunes qui se donnent la mort, devant tant de jeunes qui fuient la vie par la drogue,
qui s'enfoncent dans des comportements de déprime ou de violence, laissons-nous nous interroger...
Je voudrais faire appel à votre propre jeunesse.
Elle n'est jamais très loin. Notre jeunesse a été un temps très riche et, notamment,
dans ce domaine de la recherche du sens. Pour moi, cette recherche a été longue et difficile.»
Conférence de Stan ROUGIER
à Liège - Église St François de Sales - vendredi 10 OCTOBRE à 20h
PLUS en suivant ce lien
Un jour, l'âne d'un fermier est tombé dans un puits.
L'animal gémissait pitoyablement pendant des heures,
et le fermier se demandait quoi faire.
Finalement, il a décidé que l'animal était vieux et le puits devait disparaître de toute façon,
ce n'était pas rentable pour lui de récupérer l'âne.
Il a invité tous ses voisins à venir et à l'aider.
Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à enterrer l'âne dans le puits. Au début, l'âne a réalisé ce qui se produisait et se mit à crier terriblement. Puis à la stupéfaction de chacun, il s'est tu.
Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement regardé dans le fond du puits et a été étonné de ce qu'il a vu.
Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui, l'âne faisait quelque chose de stupéfiant. Il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus. Pendant que les voisins du fermier continuaient à pelleter sur l'animal, il se secouait et montait dessus. Bientôt, chacun a été stupéfié que l'âne soit hors du puits et se mit à trotter!
La vie va essayer de t'engloutir de toutes sortes d'ordures. Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer. Chacun de tes ennuis est une pierre qui permet de progresser. Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n'arrêtant jamais.
Il ne faut jamais abandonner! Secoue-toi et fonce!
Rappelle-toi, les cinq règles simples ! À ne jamais oublier, surtout dans les moments les plus sombres.
Pour être heureux / heureuse :
-1. Libère ton cœur de la haine.
-2. Libère ton esprit des inquiétudes.
-3. Vis simplement.
-4. Donne plus.
-5. Attends moins.
(source inconnue)
Je me souviens de ta voix
telle un doux murmure,
venu de tes entrailles
où l'Amour logeait.
Je me souviens
de ton visage de Lumière,
comme un parfum de Dieu
sur cette terre.
De tes mains délicates
qui pensaient chaque geste.
De tes écrits superbes
il nous reste ta vie,
celle que tu auras vécue
au cœur des incompris.
Frère Roger
tu es la plus belle fleur de Dieu.
Il t'avait planté amoureusement
pour que nous bougions,
dans nos certitudes
d'être seuls à détenir l'Amour.
Tu voulais le monde
comme une rosée de tendresse,
un sourire donné aux âmes blessées
et qui n'en peuvent plus.
Tu écoutais les silences
et tu interprétais ces souffrances,
non dites
car trop difficiles à formuler.
Toi, tu trouvais
les mots justes et simples,
ceux qui parlent
aux cœurs des meurtris,
des gens simples
pauvres en leur destin.
Frère Roger
plus je médite tes paroles,
et plus je m'aperçois
que tu évoquais l'éternité
des jours qui viennent à nous,
comme une semence
de la Présence de Dieu.
Cette éternité
tu l'avais méditée et aimée,
avant de la rencontrer
pour mieux rencontrer,
Dieu en Son éternel Amour
dans lequel tu vis,
désormais...
Bruno LEROY
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