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Nous vous proposons ci-dessous, une sélection de sujets ouvrant à une réflexion personnelle
et pouvant aussi servir de support à un éventuel débat, en couple, en famille, au niveau des différentes communautés de vie ...
Quand d'aucun construisent des murs, il est important de jeter des ponts.
Apprendre à se parler est un des moyens les plus sûrs pour mieux se connaître, s'enrichir mutuellement et contruire des projets communs.
Entrer dans la culture du débat respectueux,
c'est lutter contre la dictature de l'indifférence et la pratique du rejet qui préfère laisser s'échouer "l'à venir"
que de s'ouvrir à la nouveauté de la vie toujours recommencée.
Alors, nous vous invitons à en parler et à en débattre... Bonne réflexion !
L’humanité surgit d’un regard. Ouvrir les yeux, c’est la rencontrer
La France "ne vaincra pas le terrorisme en trahissant ses valeurs"
(le discours du père de Lola, tuée au Bataclan, lors de la cérémonie d'hommage national aux victimes-19-9-2016)
Trois aspects méconnus de la crise mondiale des réfugiés
Jésus nous demande de faire le bien avec humilité, refusant le paraître, de faire semblant de faire quelque chose.
Seul, on va plus vite,
ensemble on va plus loin !
« Tôt ou tard, quelqu’un fouillera dans les fichiers, reconstituera nos modes de vie, et restera stupéfait.
Alors qu’ils connaissent une telle abondance matérielle, alors qu’il leur suffisait de si peu de travail pour disposer de tout le nécessaire,
ils continuaient à s’acharner, à produire, à détruire leur cadre de vie et à dévorer le temps de leur vie !
Ils confondaient économie et raison de vivre, croissance et civilisation !
Ils ont fait jouer le grand orchestre du désir infini, de la mobilisation sans trêve, et de la croissance sans répit,
jusqu’à détruire les conditions même de leur existence !
Ils ont sacrifié à la déesse économie l’eau de leurs sources et de leurs rivières,
les poissons de la mer et des lacs, les fleurs et les fruits de leurs champs et de leurs forêts, les animaux des jungles, des brousses et des savanes ;
au nom d’une abstraction, la croissance, ils ont détruit tout ce qui faisait la vie des femmes et des hommes de leur terre, de leur rivage et de leur famille.
Des thèses, des mémoires, seront consacrés à cette étrange fascination pour le travail, pour la production, pour le chiffrage,
pour une accumulation sans objet.
Et sans doute la conclusion viendra-t-elle d’elle-même ; tout ce qui, avant eux, était consacré à l’au-delà,
à l’espoir céleste ou terrestre d’une vie meilleure, tout ce qui après eux sera consacré à bien vivre, et même,
à exceller dans l’art de vivre, eux l’investissaient dans un culte sans raison et sans Dieu,
par reproduction machinale des gestes de la foi, sans la foi, et des rites de l’espoir, sans l’espoir. »
Hervé Juvin
Extrait de « Le mur de l’ouest n’est pas tombé » aux Éditions Pierre-Guillaume de Roux.
Dans le frère que nous aidons, nous reconnaissons le visage de Dieu que personne ne peut voir.
Le monde a besoin de signes concrets de solidarité, surtout face à la tentation de l’indifférence.
Le dialogue ne peut naître que si je peux reconnaître l’autre comme un don de Dieu et accepter qu’il ait quelque chose à me dire.
Le signe concret que nous avons vraiment rencontré Jésus est la joie que nous éprouvons en le communiquant également aux autres.
Là où il y a l’amour, là aussi il y a compréhension et pardon.
Que les gens voient dans nos vies l’Évangile : un amour généreux et fidèle au Christ et aux autres.
[ PLUS ]
Nous publions chaque semaine une prière illustrée.
Elle est disponible en format diaporama ou vidéo.
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Le soleil du mois:
« Lorsque souffle le vent du changement,
certains construisent des murs,
d'autres des moulins.
»
Proverbe chinois
et notre soleil du jour :
suivez ce lien ►
Sans autres commentaires :
À montrer aux personnes qui se demandent pourquoi les Syriens quittent leur pays ►
La lecture de notre histoire et l’engagement à vivre la mission salésienne qui la traverse
nous oblige à redéfinir sans cesse notre identité chrétienne et salésienne en tenant compte des signes et des défis du temps.
Elle s’est toujours inscrite dans celle de l'Église et de la Famille salésienne. Elle a connu le souffle de l'Esprit du concile Vatican II.
Ce renouveau spirituel, nous a notamment permis de redécouvrir le sens premier de notre vocation
décrite par Don Bosco lui-même lorsqu'affirmant la responsabilité « spécifique » des laïcs, il nous invitait à être les coopérateurs de Dieu dans le monde.
Aujourd’hui, nous ressentons un nouvel appel à vivre un sursaut de foi et d’espérance dans un monde
qui semble avoir abandonné sa souveraineté aux lois des marchés et son âme aux maux "trumpeurs" des faux prophètes.
Du radicalisme qui hante nos rues aux discours de haine qui étouffent lentement nos consciences,
il est urgent de laisser notre âme puiser l’air pur de la justice et de la solidarité qui sont chemins de paix et de croissance pour notre humanité.
Si nous avons le droit de dire notre attachement au modèle démocratique qui organise notre société,
nous avons le devoir de dénoncer les discours et les choix politiques qui la fragilisent en entretenant
un climat conflictuel propice à l’expression des extrémismes de tout genre tant politiques qu’économiques.
À lui seul, l'individualisme, fruit amer de l'égoïsme, pousse notre société jusqu'aux frontières du racisme ordinaire...
Notre engagement à la suite de Don Bosco, ne peut s'exprimer et se vivre que dans l’espace citoyen où nous sommes plantés.
Nos critères de croissance sont ceux de l'Évangile qui nous invitent à travers la prière du Notre Père,
à être les artisans d'une société où la fraternité n’est pas un simple exercice spirituel mais bien l’expression solidaire de notre foi.
Comment en effet peut-on tendre la main pour réciter le Notre Père
et faire le choix de programmes politiques incitant à la haine, aux rejets, à la peur de l'autre ?
Cet engagement chrétien et cette citoyenneté responsable,
c’est l’invitation décrite par Don Bosco lorsque s’adressant aux coopérateurs,
il les appelait à vivre en « bons chrétiens et en honnêtes citoyens ».
Plus que jamais d’actualité cette invitation doit devenir notre règle de vie.
Nous avons à l’entendre, à la faire nôtre, à la renouveler
au cœur de notre monde qui a tellement besoin de paix, de justice, de solidarité et d'honnêteté...
Quand parfois il suffit de mentir pour être premier, on comprend combien le défi de l’honnêteté est un combat citoyen responsable
et pas une simple notion qu’il faudrait enseigner.
Utopie ? Certes, mais aujourd'hui cette utopie est bien vivante et notre Association présente dans le monde entier,
témoigne avec générosité de la force de son engagement au service des jeunes, des familles, au service des plus pauvres, des plus démunis.
Notre oui salésien se doit d'être une présence au coeur du monde.
Voici une présentation réalisée à l'occasion d'une rencontre avec le groupe de Ganshoren en septembre 2014.
Sous format vidéo ci-dessous, ce montage existe sous format diaporama permettant l'organisation d'échanges. À votre disopsition sur simple demande.
Vu les déréglements électoralistes annoncés et les dégats qu'ils risquent d'entraîner sur les relations sociales,
nous nous permettons de renouveler cette ordonnance.
Ce traitement, basé essentiellement sur le principe du mieux-être pour mieux vivre ensemble,
doit nous permettre de nous prémunir du mal de Front et de ses effets secondaires notamment sur les comportements.
Il faut à tout prix éviter la contamination des solutions toutes faites, des "Y a qu'à" et l'escalade des "moi-je".
Il est donc important de nous prémunir de tout discours flattant nos égoïsmes sous peine de dégrader durablement notre potentiel humain.
En effet, s'il est un état en danger, c'est bien celui de notre humanité.
F. Defaut, scdb
►►►Voici donc notre prescription à prendre sans modération et surtout à partager !
La Miséricorde de Dieu n’est pas une idée abstraite, mais une réalité concrète à travers laquelle Il nous révèle son amour. Elle est semblable à l’amour d’un père et d’une mère profondément émus par leur enfant. C’est proprement un amour « viscéral ». Dieu nous aime de cette façon-là, avec un mélange naturel de tendresse et de compassion, d’indulgence et de pardon.
Pape François
Pape François : à l’audience générale (7 septembre 2016), nouvelle mise en garde du Souverain Pontife contre ceux qui véhiculent de fausses images de Dieu.
extrait :
« L’avertissement de Jésus est toujours actuel :
aujourd’hui aussi, l’homme construit des images de Dieu qui l’empêchent d’apprécier sa présence réelle.
Certains se créent une foi « bricolée » qui réduit Dieu à l’espace limité de leurs propres désirs et de leurs propres convictions.
Mais cette foi n’est pas la conversion au Seigneur qui se révèle, au contraire, elle l’empêche de provoquer notre vie et notre conscience.
D’autres réduisent Dieu à une fausse idole: ils utilisent son saint nom pour justifier leurs intérêts ou même la haine et la violence... »
Lire le message du Pape ►
Intervention du pape François à l'occasion de la 30° Rencontre mondiale interreligieuse pour la paix, organisée par la communauté de Sant’Egidio à ASSISE, la ville de Saint François.
reportage et texte complet en suivant ce lien ►[ C’est la prière et la volonté de collaboration qui permettront une vraie paix. La Paix, un mot si simple et en même temps difficile, a reconnu François. « Paix veut dire "pardon" qui rend possible de guérir les blessures du passé. Paix veut dire "accueil". Paix veut dire "collaboration", un échange vivant avec l’autre. Paix veut dire enfin "éducation"», a ajouté le Saint-Père : un appel à acquérir la culture de la rencontre, en purifiant la conscience de toute tentation de violence, contraire au nom de Dieu.]
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« Les blessures de la vie peuvent nous écraser et nous verrouiller.
Elles peuvent aussi nous rendre plus forts et plus ouverts aux autres.
Nous n'avons pas choisi de les subir
mais nous sommes libres d'en faire des enclumes qui nous enfoncent
ou des points d'appui qui nous élèvent. »
Frédéric Lenoir