Pour découvrir cet autre temps, ce temps de l'Autre !
Des textes, des vidéos, des chants, des méditations, des visites...
Ouvrez grands vos yeux et votre coeur, nous vous offrons des parcelles de beauté à prier.
Tandis que la société s’enlise dans ses égoïsmes, nous avons la possibilité de mettre notre cœur au dehors pour lui permettre de prendre l’air de l’humanité.
Crise, Europe, Elections en tout genre…
Nous sommes gavés de slogans
et il est difficile de vivre notre identité chrétienne et humaine tout simplement.
Plus largement, nous nous débattons dans une société qui ne cesse d'harceler son avenir.
L'humanité change d'auxiliaire, elle privatise sa liberté : il faut Avoir pour Être !
Chrétiens nous le savons, l’Evangile n’est pas un catalogue de "ni-ni" à vendre et ne peut se solder au prix rabais d’ambitions personnelles…
Alors ouvrons grande notre âme pour y laisser naître l'émotion de la vie...celle d’un idéal toujours à inventer, d’un monde meilleur à construire.
Laissons cette bonne nouvelle demeurer en nous,
laissons-la nous changer et nous changerons le temps !
Apprenons ensemble une autre société.
Bonnes vacances ! Et rendez-vous en septembre pour une nouvelle année !
«Ce monde est ce que nous en avons fait.
S’il est sans pitié aujourd’hui,
c’est parce que nous l’avons rendu impitoyable par nos comportements.
Nous ne pouvons changer le monde que si nous changeons nous-mêmes,
et cela commence par notre langage et notre façon de communiquer»
Ghandhi.
Pas facile de poser les bonnes questions à une religieuse sur sa vie! Il faut oser... Pas de problème, les sœurs salésiennes témoignent pour vous ! Sympa non?! Pour les animateurs en pastoral et catéchistes, voici
9 vidéos de 2 minutes chacune, qui permettent d'entrer immédiatement dans le vif du sujet avec des jeunes. Le top quoi !
Il ne nous a pas été possible de publier notre bulletin salésien pour ce trimestre.
Nous vous prions de bien vouloir nous en excuser.
La prochaine parution d'UTOPIE 21 est prévue pour le mois de septembre.
«Oui, parce que la vie est tissée de banal. Quand on est enfant, on sait cela : on regarde les choses s’approcher, s’éloigner, on court d’une couleur à une autre, on vit comme dans une île aux trésors… En ce qui me concerne, il y a des visages, des paroles, des rencontres qui m’on frappé, parfois c’est la feuille d’un arbre qui tombe, la fuite d’un nuage dans le ciel… Des quantités de miracles qui, si je ne les avais notés, auraient glissé dans le néant du sans-mémoire, du sans-parole, du non-partagé. Je me suis aperçu que les choses qui ne sont pas notées se perdent à jamais. L’écriture garde la trace de ce qui était fragile, éphémère et si vital. Elle permet de maintenir le vol même de la vie.»
Christian Bobin
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