Ce dimanche 1er février, le "Jour du Seigneur" retransmettra, sur l'antenne de France 2 et de la RTBF,
la messe célébrée par le Père Federspiel en l'Église Saint-Jean-Bosco à Paris.
À l'occasion du bicentenaire, la famille salésienne organise trois colloques durant l'année 2015. Le premier, qui se tiendra le 5 février prochain au Collège des Bernardins, aura pour thème « Don Bosco et l'Église ». À suivre sur la chaîne KTO.
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Joyeuses fêtes DON BOSCO
Don Bosco, une vie pour les jeunes (le film)
… « Nous sommes les héritiers d’un grand homme, un vrai fils de son temps et un vrai tisserand de l’histoire,
un homme extraordinaire, mais humble et présent au milieu des derniers, qui inspiré par la bonté et l’ardeur
de Saint François de Sales,
a pu créer un large mouvement de personnes toujours en chemin, mis en route, à partir de la périphérie de Turin
pour arriver à d’autres périphéries existentielles et géographiques
(comme celles du bout du monde dans la Terre de Feu et dans la Patagonie déjà en son temps).
Nous sommes les dépositaires d’un héritage qu’il faut développer,
transmettre et rendre fertile au moyen de nos propres options de vie et du don total de nous-mêmes
pour le rendre toujours plus fécond et plus riche.
Don Bosco continue à vivre.
Le fils de Marguerite, la femme forte et sage, qui lui a transmis la sagesse et la riche tradition de la campagne du Monferrat,
et qui a partagé avec lui et ses jeunes, les premiers salésiens, l’aventure des débuts de l’oratorio,
continue d’accompagner son œuvre. L’Italie, comme d’autres pays dans le monde,
ne peut raconter son histoire, sans faire sérieusement référence à ce fils et à son œuvre.
Les études récentes faites pour le 150e anniversaire de l’unité de l’Italie,
qui correspond aussi au 150e anniversaire de l’Oeuvre salésienne,
ont démontré combien la contribution salésienne a été ample et profonde quant à la croissance du pays lui-même.
Que Marie, Auxiliatrice et Mère, qui a tout fait depuis les origines,
nous aide à être fidèles dans la créativité afin que l’œuvre commencée par Dieu il y a 200 ans continue et reste féconde.
Nous sommes des héritiers qui portons sur nos épaules une grande responsabilité,
mais surtout nous portons au cœur un feu rayonnant : notre passion de vivre come Don Bosco avec et pour les jeunes. »
Extrait de l'homélie du Recteur Majeur don Angel Artime – Turin 24. 01. 2015
Saint Jean Bosco fondateur de la famille salésienne...
Noémi Bertola, Coordinatrice Mondiale et les membres du Secrétariat Exécutif Mondial
Les paroles du Recteur Majeur nous confient un Don Bosco vivant dont l’héritage doit se développer à travers notre passion,
notre communion et notre confiance en Marie !
Meilleurs souhaits pour une sainte fête de Don Bosco !
Nous vous invitons à participer à notre prochain week-end que nous organisons à Farnières, du vendredi 27 mars à 18h au dimanche 29 mars vers 14h15.
Nos animatrices :« Élargissez vos horizons !
Avec les jeunes,
missionnaires de joie et d’espérance ! »
C’est le défi lancé par le Pape François aux salésiennes du monde entier réunies en Chapitre Général (CG 23) en novembre dernier.
Mais bien sûr, cela rejoint l’engagement et la réflexion de toute la Famille Salésienne.
Trois grandes orientations ont surgi afin d’être avec les jeunes une maison qui évangélise :
Ensemble, nous chercherons à comprendre comment ces trois directions peuvent renouveler notre Famille Salésienne. Au plaisir de nous retrouver bientôt.Transformés par la Rencontre (du Christ) …
Ensemble (en réseau, en FS) avec les jeunes …
Missionnaires de joie et d’espérance …
Site W-E Coopbelsud Farnières 2015
« Chers frères et sœurs,
Le Carême est un temps de renouveau pour l’Église, pour les communautés et pour chaque fidèle.
Mais c’est surtout un « temps de grâce » (2 Co 6,2). Dieu ne nous demande rien qu’il ne nous ait donné auparavant :
« Nous aimons parce que Dieu lui-même nous a aimés le premier » (1 Jn4, 19). Il n’est pas indifférent à nous.
Il porte chacun de nous dans son cœur, il nous connaît par notre nom, il prend soin de nous
et il nous cherche quand nous l’abandonnons. Chacun de nous l’intéresse ; son amour l’empêche d’être indifférent
à ce qui nous arrive. Mais il arrive que, quand nous allons bien et nous prenons nos aises,
nous oublions sûrement de penser aux autres (ce que Dieu le Père ne fait jamais),
nous ne nous intéressons plus à leurs problèmes, à leurs souffrances et aux injustices qu’ils subissent…
alors notre cœur tombe dans l’indifférence : alors que je vais relativement bien et que tout me réussit,
j’oublie ceux qui ne vont pas bien. Cette attitude égoïste, d’indifférence, a pris aujourd’hui une dimension mondiale,
au point que nous pouvons parler d’une mondialisation de l’indifférence.
Il s’agit d’un malaise que, comme chrétiens, nous devons affronter.
« Si un ange venait visiter mon jardin intérieur et me demandait quel cadeau je souhaiterais recevoir dans l’instant, je ne lui demanderais ni la fortune ni la réalisation immédiate de mes rêves les plus fous ou de mes vœux les plus chers. Non. Je veux garder intact tout le palpitant de la vie ! Que les choses ne soient écrites à l’avance, ni servies toute faites, ni accomplies hors de ma présence et de mon libre arbitre.
Ce que je demanderais ce sont des graines. Des graines d’émerveillement. Et qu’il en sème partout en abondance, qu’elles envahissent tout mon jardin intérieur, jusqu’à placer en moi des désirs à ne plus savoir qu’en faire, des attentes de fraternité aiguës comme la soif, des élans de réconciliation d’une folle audace, des paris sur l’avenir que personne n’aura osé faire avant moi.
Je deviendrais herboriste du bon Dieu, je ferais des décoctions d’émerveillement, je composerais des parfums ré-enchanteurs, des onguents et baumes réparateurs pour apaiser, guérir et bien cicatriser ; j’introduirais d’irrépressibles poudres de rires pour les cœurs mélancoliques, des lotions spéciales de confiance pour ceux qui n’y croient plus !
Je deviendrais saltimbanque de la joie de vivre !
On me prendrait pour un bonimenteur en me voyant disqualifier les plaisirs multiples après lesquels chacun court, pour inviter à célébrer l’Unique, la noble cause ou le grand amour. »
Extraits du livre « Le maître des liens inaltérables » de François Garagnon
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