Il est un foie en crise. Un comble puisqu'il est un devin qui filtre les informations du corps médical. Le foie se démène comme un fou face à la sécheresse de ses aspirations. En plein sevrage et en plein remue-ménage, il attrape la jaunisse. Vaporeux, il va voir son ami estomac. Il reçoit un accueil acide. L’œsophage n'est pas loin et lui souffle que l'air nie un complot contre le foie. Il n'y a aucun rapport et pourtant le foie se fait un sang d'encre. Lui pourtant si ancré dans ses tripes à ses valeurs vitales.
Les pas de Tite ne semblent pas loin mais heureusement les bactéries du vaccin sont là et veillent. Le foie envoie un message codé au cerveau pour que l'ensemble de l'organisme se repose. Mais les jambes refusent ainsi que les mains qui font la révolution. En plein désarroi, le foie veut aller au cœur du problème. Il rate de peu le Pan qui créa la musique anale. Il met pleins les gaz et se dirige vers l'airain de ses rêves.
C'est bien un délire qui se déchaîne dans le corps humain. La bouche accueille de l'eau et fait appel à l'alouette pour réceptionner le divin liquide. Véritable chant bienfaisant pour hydrater l'organisme.
Le foie s’en-draine à purger des immondices venant des aliments mal cuisinés, pourris.
La crise du foie s'amenuise.
Le foie revient à sa bonne place, plus serein après être reposé. Il peut suivre avec zénitude ses proches intestins. Une véritable flore s'épanouit avec une véritable biodiversité de bactéries luttant contre les intrusions des microbes.
La santé du corps est nécessaire pour le bien-être, et le calme peut aider le corps à reconstituer ses défenses immunitaires.
Prenez donc bien soin de vous en écoutant la vie intérieure de votre corps.
Le souffleur de mots
[ Voeux d'exigence ]
[ Je n'ai pas vu le ressuscité ]
[ St François de Sales,
le prophète de l'Amour ]
« Soyez le sourire
et la présence de tendresse de Jésus
envers les jeunes
auxquels vous êtes envoyés. »
Voici les derniers bulletins reçus:
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[ DECEMBRE 2013 ]
Nous n'avons pas perdu la paix de notre âme ; seule la surface en est agitée.
Mais nous avons tellement l'habitude de vivre en surface que les agitations de surface
nous font croire à des troubles de fond.
Ces secousses superficielles sont nécessaires et bienfaisantes ;
elles nous apprennent à vivre au fond ;
elles nous font aimer et désirer et rechercher
cette grande sérénité des âmes qui savent que Dieu est Tout,
qu'Il aime nos âmes et que nos souffrances
et nos troubles eux-mêmes deviennent, pour son amour, des moyens d'union.
Nous apprenons, à ces heures-là, la nécessité de vivre uni à Lui,
et nous comprenons que l'union à Lui ne se fait pas dans la sensibilité
– puisqu'Il est essentiellement Esprit – mais dans les profondeurs du vouloir spirituel qu'on ne voit pas,
qu'on ne sent pas, et qui n'en est pas moins l'amour substantiel et vrai.
Dom Guillerand, charteux
« La présence de Dieu au milieu de l’Humanité ne s’est pas réalisée dans un monde idéal,
idyllique, mais dans ce monde réel, marqué par tant de choses bonnes et mauvaises,
par les divisions, la méchanceté, la pauvreté, la violence et les guerres.
Il a choisi d’habiter notre histoire comme elle est,
avec tout le poids de ses limites et de ses drames ».
Pape François, 18 décembre 2013
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